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    Recuerdo...

     

    30 mars, Gianmaria... le jour où je suis arrivée par erreur il y a fort longtemps, le jour où tu n'aurais jamais dû partir il y a 3 ans...

    Tu manques à tous ceux qui t'aiment...

     

     

    Ma play-list de Gianmaria 

     


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    "Locus amoneus"

     

    La plupart des illustrations de la video ci-dessous sont des peintures "à fresque" du nymphée souterrain de la Villa de Livia datant des années 40 à 20 av JC. Les arbres fruitiers y sont abondants : grenadiers et cognassiers attirent les oiseaux. Sur le détail, les fleurs sont peintes avec finesse, et la rose occupe une place prépondérante. 

    Les fresques, représentant un jardin paradisiaque, ont été découvertes en 1863 dans la Villa de Livia située sur une colline du nord de Rome dominant le Tibre. Dans la villa, les fresques étaient situées dans une salle souterraine desservie par un escalier. C’était une salle sombre, qui ne recevait pas la lumière du soleil mais dont les murs étaient éclairés par une fresque somptueuse qui occupait toutes les parois. Pendant la deuxième guerre mondiale la salle des fresques du jardin a beaucoup souffert : elle a subi les dommages des bombardements et surtout ceux causés par les soldats qui ont bivouaqué dans ce lieu souterrain et abrité. A la fin de la guerre il a été décidé de protéger les fresques en les détachant des murs de la villa de Livia et en les transférant, dès 1951, au Museo dei Termini (Thermes de Dioclétien).

    Dans la fresque tout contribue donc à créer l’illusion d’un véritable jardin. On en ressentirait presque la fraîche atmosphère ! L’ensemble décoratif est d’une parfaite unité. Les éléments naturalistes ne sont pas seulement un répertoire d’éléments botaniques. La fresque revêt une dimension spirituelle. Le jardin de Livia est sans doute consacré à Vénus, déesse tutélaire de l’Empire, comme le sont les jardins réels des villas romaines. C’est une image de paradis, un locus amoenus.

     

     

    source documentaire : les fresques de la Villa de Livia 

     


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    Untitled.

     

     

    Cocteau, dandy insolent disait : "Sur les miroirs et sur les photographies, je constate que je suis devenu vieux. Mais c'est ce qui est jeune en moi qui le constate. C'est un jeune qui voit un vieux" 

    Et moi, eva, je dis : 

    Sur les miroirs et les photographies, je constatais alors que j’étais jeune…Mais c’est ce qui était vieille en moi qui le constatait… Et c’est une incrédule sans âge qui voyait le visage de la jeunesse…

     


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  • Printemps...

     

     "Maintenant" est pour un instant un mot gigantesque... (Erri De Luca)

     

     

     


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