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    Arbre du Ténéré 1

     

    Il était une fois, au coeur du Sahara, au coeur du Niger, au coeur du désert du peuple Touareg,

    Il était une fois le Ténéré...

    Il était une fois, au coeur du Ténéré, un Arbre... un arbre mythique : l'Arbre du Ténéré...

    Un acacia de trois siècles, haut de trois mètres environ, mais dont les racines allaient chercher l'eau à une profondeur de 36 mètres...

    Il était une fois, l'Arbre du Ténéré,

    Un arbre unique au coeur du Ténéré : l'arbre le plus isolé de la Terre...

    c'est l'histoire de cet arbre unique que raconte mon amie Michèle Bec (alias Danae) dans un article  d'une revue spécialisée "Le Saharien" et que je vous invite à lire à ce lien :

    http://www.larahla.com/index.php?page=articleSaharien195 

    mbecarbretnr1969

     

     Ces deux photos très rares datant de 1969 ont été prises par Michèle Bec (on la voit ci-dessus, grimpée dans l'arbre)... Ces deux photos exceptionnelles témoignent de l'existence passée d'un Arbre exceptionnel aujourd'hui disparu, écrasé par un camion en 1973.

     

    Merci à mon amie Danae link 


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    givre 

     

     

    oeuf de cristal

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Il est si fragile

     

    L'oeuf dans sa coquille

     

    Comme une branche enneigée...

     

    (Claude Guibbert)

     

     

    link Les alchimistes du Verbe

    (recueil de poésie Mille et une pensées)
    "Journal de plumes d'elles" link
    Wikipedia link
    site web link


     

     Merci à mon ami Claude Guibbert pour ces mots pleins de délicatesse et de poésie... donnés un soir d'hiver...

     

     


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    cachet chinois

     

    "Achat du tampon avec mon nom en chinois. Ici c'est la mode, chacun signe, même ses chéquiers, avec son tampon trempé dans une encre rouge"

     

    (Extrait du chapitre Taiwan du livre de Michèle Bec : Mon tour d'Asie)

       crem

     

    "Sur les bords de la rivière sacrée, la Vischnumati, une crémation qui, selon les hindous permet de libérer l'âme des morts, se prépare. J'assiste depuis le pont aux rites qui entourent la cérémonie. Le cadavre est tout d'abord enveloppé d'un drap blanc, puis ficelé dans une natte de roseaux tressés recouverte d'un tissu orange d'un côté, rouge de l'autre. La famille s'approche du corps et tout en manifestant une vive douleur en se roulant par terre et en criant, pleurant, arrose d'un peu d'eau la tête du mort. Celui-ci est disposé sur un brancard, entouré de colliers de fleurs et porté par quatre hommes. La famille suit la dépouille en marchant trois par trois et en se soutenant les uns les autres. Elle traverse pieds nus la rivière dont les eaux sont basses, en emmenant quelques fagots de paille...." (extrait du chapitre Nepal du livre de Michèle Bec : Mon tour d'Asie)

     

    voy 013

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

       

     "Notre corps est la barque qui nous portera jusqu'à l'autre rive de l'océan de la vie. Il faut en prendre soin" (Swami Vivekananda)

     

    et le livre de Michèle Bec (alias Danae) m'a portée d'une rive à l'autre de l'imaginaire voyage, au fil des pages, "seule du pied de l'Everest au Mont Aso"... pour ce voyage merveilleux, Danae soit bien remerciée. eva.

     

     

    Les photos sont de Michèle Bec

    et les textes sont extraits de son livre relatant son voyage fabuleux : Mon Tour d'Asie : link

     


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      ecolieres ao dai bl

     

     

     

    "Les petits écureuils couraient dans le Palais d'Eté et les Chinois, nos amis, leur donnaient à manger et ces petits animaux ne les craignaient pas. Des bambous, des montagnes ravinées sur la route de la Grande Muraille, des immeubles immenses. Toulouse est une bien petite ville ! Un vent sec et froid en provenance du désert de Gobi à l'est. Des vélos qui se croisent, un accident de vélo : pas de panique, ni d'agressivité, ils se relèvent et chacun reprend sa route. Des vélos avec des couloirs qui leur sont réservés, des milliers de vélos et de très belles voitures noires aussi, comme celle du Chinois de ma Duras. Des immeubles modernes, s'élançant vers le ciel et des bidon-villes, ce que l'on appelle les hutongs, des bâtiments maoïstes aussi, des quartiers de paysans aperçus entre deux périphériques. Du linge qui sèche derrière les fenêtres aperçues lors de mes balades en taxi; ça fait mal à l'homme, me chante G.M.. Oui, ça fait mal. Tout ça : cette découverte, cette humanité, ces vies puissantes. La puissance de la multitude. C'est à l'autre bout du monde, cette vie-là"  (Chris-Tian VIDAL, Carnet d'Asie)

     

    CA

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

      un livre à demander à son auteur, avec une dédicace, à ce lien : 

     http://www.chris-tian-vidal.org/

       

    Les photos sont de Chris-Tian VIDAL, et le texte est extrait de son livre "CARNET d'ASIES"

    (Récit d'un voyage initiatique devenu inévitable, une quête des origines. Un voyage salvateur pour cet enfant des vignobles et de la Terre qui, entre deux séances de psychanalyse et sa Duras dans le coeur, prend enfin son envol pour ce lointain continent, l'Asie, son Asie. Une fois en Chine, il enjambera villes et campagnes, à la vitesse du souffle médian que lui a enseigné la lecture minutieuse du Tao.)

     


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