• Batterie (Jean Cocteau)


    Soleil, je t'adore comme les sauvages
    A plat ventre sur le rivage.
    Que j'ai chaud ! C'est qu'il est midi.
    Je ne sais plus bien ce que je dis.
    Tu es un clown, un toreador,
    Tu as des chaînes de montre en or.
    Soleil je supporte tes coups,
    Tes gros coups de poing sur mon cou.
    C'est encore toi que je préfère,
    Soleil, délicieux enfer.

    (Jean Cocteau)

                                                                                                                                        photo eva
    ©

    Sbeïtla (Tunisie)

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  • Commentaires

    6
    Samedi 28 Mars 2009 à 10:52
    Etonnant ce poème au ton passionné de Cocteau!
    Je partage sa vision: délicieux enfer! C'est le TOUT!
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    5
    Vendredi 27 Mars 2009 à 22:28
    Les commentaires sont possible ce soir...Alors bonne fin de soirèe Heureux Weekend..bises
    4
    Vendredi 27 Mars 2009 à 19:33
    Merci pour ce poème et pour ce joli souvenir de Tunisie !
    3
    Vendredi 27 Mars 2009 à 13:56
    J'aimerai qu'il vienne un peu ici ce soleil,babsy
    2
    Vendredi 27 Mars 2009 à 07:53

    Waaaaooo !

    1
    Vendredi 27 Mars 2009 à 01:02
    Râ Dieu !
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