• Convergences 1952 Jackson Pollock

     

    Blue poles 1952 Jackson Pollock

     

    Ma vie, elle ressemble à ces soldats sans armes

    Qu'on avait habillés pour un autre destin 

    A quoi peut leur servir de se lever matin

    Eux qu'on retrouve au soir désoeuvrés incertains... (Aragon)

     

     

    « The deep 1953 (Jackson Pollock)Chandernagor, hommage à Guy Béart »

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  • Commentaires

    19
    Dimanche 20 Septembre 2015 à 09:55

    Merci, Eva, pour cette magnifique alliance d'Aragon et de Pollock.

    18
    Jeudi 17 Septembre 2015 à 19:59

    Moi j'aime bien le dessin ou peinture

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    17
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 23:56

    J'aime beaucoup Pollock, mais autant William Kooning

    16
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 23:43

    J'apprécie les mots rapportés à propos de la genèse de l'oeuvre.

    Bonne fin de soirée chal-heureuse!

    15
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 19:31

    Merci à tous. J'ai ajouté une video : la plus intéressante, et la plus explicite que j'ai trouvée....

    14
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 18:40

    Bonsoir Eva.

    Sur ton billet et ce tableau, j'ose mon regard :

    Dans la foule bigarrée, joyeuse, des grands signes de mains pour vous guider vers ce centre d’allégresse. Euphorisez-vous de vin, de poésie ou de vertu à votre guise mais euphorisez-vous (pardon Charles).

     

    13
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 18:33

    Il y a des êtres comme ça, qui se donnent à fond, pour tout, qui ne feignent jamais... qui vont jusqu'au bout de tout... J'aime... Cela seul suffirait à me le rendre proche...

    12
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 18:30

    Eh oui… tu as raison, le "dripping" demandait une quantité d'énergie physique… Pollock dansait sur la toile… il y a un film très beau en blanc et noir qui raconte Pollock au travail…

    11
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 18:04

    @ Francesco : le hasard, Francesco, le hasard : pour le premier, une attirance, une fascination. Pour le deuxième, le hasard du titre "convergences" (et je ne suis pas sûre qu'il n'ait pas un n° comme Pollock l'a fait souvent)... La découverte de cette technique qui demandait une telle dépense d'énergie physique... et puis, "Quand je suis dans mon tableau, je ne suis pas conscient de ce que je fais."  ça m'a séduite...

    10
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 17:58

    @ el duende, je partage ton observation à propos des similitudes d'atmosphère de ce poème d'Aragon, avec le roman "chef-d'oeuvre" de Dino Buzzati: Il deserto die Tartari.  Ciao, Amitié, Francesco.

    9
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 17:49

    Naturellement j'adore Pollock Eva, c'est la révolutionnaire absolu de l'Art Américain du siècle passé…. et ce tableau est merveilleux….

    Mais j'ai une question cette fois, sur ce billet et le précédent… Pourquoi as tu fait de Pollock, l'icône de "ton pessimisme cosmique" ou vice-versa? :-)))) Baci, Francesco.

     

     

    8
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 16:53

    @ El Duende : quand on lit la biographie de Pollock, on peut comprendre qu'il ne soit pas gai ! Il a vécu dans une extrême précarité la majeure partie de sa vie. Il devient alcoolique dès l'âge de 15 ans (alcoolique comme son père et ses quatre frères). Autant dire que toute sa vie fut un combat sans armes, un combat contre lui-même, et contre les autres. A l'âge de 11ans Pollock assiste à des rituels d'Indiens et il se passionnera toujours pour l'art primitif qui repose sur des émotions spirituelles. Il réalise en 1937 durant une exposition, des démonstrations de peintures de sable (et aussi avec des pollens, des pétales, ou de la farine). Dans la pratique chamanique le membre de la communauté qui est soigné est ensuite placé au centre de la peinture, puis celle-ci est détruite, elle sert à frotter le malade, puis est jetée loin du village. C'est l'action de réaliser la peinture et non l'objet qui est essentiel.

    "Quand je suis dans mon tableau, je ne suis pas conscient de ce que je fais. C'est seulement après une espèce de temps de prise de connaissance que je vois ce que j'ai voulu faire. Je n'ai pas peur d'effectuer des changements , de détruire l'image, etc... parce qu'un tableau a sa vie propre. J'essaie de la laisser émerger. C'est seulement quand je perds le contact avec le tableau que le résultat est chaotique. Autrement, il y a harmonie totale, échange facile, et le tableau est réussi".

    7
    el duende
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 16:10

    Ce poème me fait penser au "Désert des tartares" de Dini Buzzati. des soldats sont postés dans une forteresse dans le désert et ils sont chargés, dans une grande solitude, de surveiller l'horizon au cas où l'ennemi viendrait. Et l'ennemi ne vient jamais... Pollock n'est pas gai... 

    6
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 16:02

    rectificatif : j'ai trouvé un dessin de la verrerie de Courcelles (dans la Somme)... En ce moment, je suis un peu coincée à la maison, mais ça va s'arranger ! Bonne fin de journée Dan.

    5
    DAN
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 15:11

    C'est vrai que ne "net" ne peut tout avoir et c'est fort heureux, on peut ainsi découvrir des choses par nous même dans les musées et autres exposions à travers toute la France ! 

    4
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 10:59

    ok Dan, merci pour ta participation (mais je n'ai vu que des soldats armés -dans ma recherche sur le net- )

    3
    DAN
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 10:47

    Un dessin ou une aquarelle de jean Droit Eva  !

    2
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 09:05

    ... frown  Dan, dis-moi comment tu illustrerais le poème alors... 

    1
    DAN
    Mercredi 16 Septembre 2015 à 09:04

    Je n’arrive pas à faire le « joint » entre le texte d’Aragon et le tableau !

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