• Est-ce ainsi que les hommes vivent ?


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    (Musée d'Art Espagnol Contemporain, Palma de Majorque)
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  • Commentaires

    14
    Jeudi 11 Février 2010 à 09:06

    je n'ai pas pensé à noter l'auteur de ce tableau, mais ce n'est pas le plus important, ce qui est essentiel, c'est l'émotion qu'il suscite...

    13
    Jeudi 11 Février 2010 à 03:54
    Un travail "brillant" et une chanson que j'ai entendu il n'y a pas si longtemps tiens. Quelle heureuse coincidence Eva.Le second tableau me plaît beaucoup, toute une histoire à découvrir dans les moindres détails. De qui est-il ?
    Caroline
    12
    Mercredi 10 Février 2010 à 20:26

    Ben dis donc ! tu en vois des choses ! quelle imagination !
    Je te taquine... Il m'avait bien semblé que ce n'était pas une représentation de la douceur...

    11
    Mercredi 10 Février 2010 à 20:24

    pas grave ! André Gide en faisait plein (de fautes) dans ses lettres perso...

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    10
    Mercredi 10 Février 2010 à 20:20
    Et encore une belle faute! ° Quelle qu'elle soit !
    9
    Mercredi 10 Février 2010 à 20:19
    Alors, voilà ce que je vois dans la première toile : une boule de feu (on peut imaginer l'élan vital de la création, l'amour les deux choses étant primordiales et la première étant le résultat de la seconde) Mais aussi la pureté originelle... Tout ceci, broyé ou découpé en morceaux, martyrisé par l'environnement, les puissants, les règles etc
    Donc pour moi c'est l'être humain, toutes ses potentialités qui sont brisées par la force quelle quelle soit !
    8
    Mercredi 10 Février 2010 à 10:25

    Bonjour Caroline. La seule chose importante à savoir sur ces deux toiles, je l'ai noté : c'est le lieu où elles sont accrochées. Pour le ressenti, tout dépend de chacun, et la réponse à tes questions sont dans les commentaires des visiteurs précédents, ainsi que dans les réponses que je leur ai faites, je conçois le net essentiellement dans l'échange...
    Amitiés à toi Caroline. eva.

    7
    Mercredi 10 Février 2010 à 10:21

    J'ai vu à peu près les mêmes choses que vous... (étrange non ? sans doute est-ce dû au talent des artistes auteurs de ces toiles)
    Pour la chanson d'Edith Piaf, je me souviens très bien de cette atmosphère, vous avez raison, elle aurait pu accompagner aussi cette page...
    Travaillez bien Michel... dans la joie et la douleur, et pour notre plus grand plaisir.

    6
    Mercredi 10 Février 2010 à 10:13
    cette toile est sombre, surprenante,mais très belle. tu n'as pas mis d'explication , à nous d'imaginer...
    5
    Mercredi 10 Février 2010 à 09:45
    J'aime beaucoup ces deux toiles... La première parce qu'elle donne (je trouve) une idée de la dureté de la vie, même s'il n'est pas évident que ce soit son sens réel, mais vous savez comme la peinture n'est jamais rien d'autre qu'un ressenti. j'y vois la robotisation, la guerre, bref, tout ces choses sympatiques dont on nous abreuve.
    La deuxième a quelque chose d'émouvant... Quel sera l'immédiat de ce couple... Quel rapport avec la pièce? tant de questions... tant d'hésitation peut-être. Tant d'amour?
    ça me fait penser à la chanson d'Edith Piaf dont je ne sais le titre exact et qui parle d'un couple d'amoureux qui se suicide dans une chambre d'hôtel. la chanson commence par "Moi j'essuie les verres au fond du café..."
    4
    Mercredi 10 Février 2010 à 08:45

    Je ne saurais pas te dire ce que c'est, je n'ai pas cherché. La 1ère toile est belle par ses tonalités très chaudes, et représente pour moi l'absurdité de notre époque, la deuxième est glauque et sombre, comme le fond de l'âme humaine. Il me semblait que ces deux toiles illustrent bien le poème d'Aragon que j'aime spécialement.
    PS : Nous avons tous peur des fantômes...
    Je t'embrasse. eva.

    3
    Mercredi 10 Février 2010 à 08:41

    Bonjour Philippe, j'ai choisi ces deux photos prises au Musée d'art español contemporain de Palma pour illustrer ce poème d'Aragon... Tu dis : dommage pour le flash, et tu as raison, (là c'est le photographe qui parle en toi) mais avec mon appareil, sans flash, la toile n'a pas le même rendu, ça convient parfois (comme pour la 1ère) mais souvent, on ne retrouve pas la texture, les coups de pinceau... Dans le cas présent, ce qui était important c'était le mystère (le mystère du fond de l'âme humaine) et le flash ajoute du mystère à l'ambiance déjà glauque... Moi aussi j'aime beaucoup la 1ère photo qui représente pour moi l'absurdité matérielle du monde contemporain, l'accumulation vaine... Par ailleurs cette toile est très belle par la chaleur de ses tonalités. Bonne journée Philippe et merci pour ton com.

    2
    Mercredi 10 Février 2010 à 07:28
    Pour moi c'est un peu obscur ! Est-ce une boule de métal incandescente sur une enclume découpée en tranches ?
    Si c'est ça, je saisis le sens...
    Ta seconde photo m'a laissée perplexe hier... Avais-je peur d'affronter le fantôme? Bonne journée à toi...
    1
    Mardi 9 Février 2010 à 23:56
    J'aime la peinture comme je te l'ai déjà dis, et j'aime bien la première toile, dommage pour le flash...
    Je suis fan de Dali, Magritte, Basiletti, etc.
    Peinture surréaliste, mais aussi hyperréalistes, trompe l'œil comme Barraya.
    Merci Eva et bonne nuit.
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