Vas-y ne te gêne pas, c'est fait pour ça ici, j'ai voulu ce blog comme un... bistrot (ou un salon, ça dépend où tu veux t'assoir et ce que tu veux consommer...)

Ooooh je sens que j'aimerai bien discuté avec toi moi !

Vouloir, vouloir... c'est vite dit ! Même sans racine je ne suis guère mobile...

Bises Danae...

J'envie l'oiseau qui n'est accroché qu'au ciel...

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N'es-tu pas toi-même fortement enraciné dans ta bonne ville du Havre ? Ce n'est pas parce que nous prenons l'avion plus facilement qu'autrefois que nous n'avons pas tendance à nous enraciner... Je dirais même que certains prennent racine... En ce qui me concerne l'idée même de racine m'est assez étrangère, je ne me sens pas d'ici, je ne me sens pas d'ici mais je n'ai pas le sentiment d'être d'ailleurs... C'est étrange, mais c'est peut-être une forme de désir de liberté. ça ne m'empêche pas d'être immobile : je suis immobile sans racine ! Sans racine et sans ailes j'ai l'impression d'être accrochée au vide...

Je ne suis pas d'accord avec cette pensée ! Il suffit de vouloir pour ne point se laisser enraciner !!! Enfin c'est vrai qu'on y tient à ses racines ... Bises affectueuses Eva

Belle vision de la vie matière noble pour un poète friand " d'augures ".
Bien amicalement.

Difficile de commenter une telle affirmation qui va à l'encontre de ce que nous vivons aujourd'hui, et d'un autre coté n'ayant pas lu cet auteur je ne puis me permettre de le commenter. Eh oui toujours mon coté "non littéraire"...