• L'Emmuré (René Char)

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    "A te mordre les jours grandissent,

    Plus arides, plus imprenables que les nuages qui se déchirent au fond des os.

    J'ai pesé de tout mon désir

    Sur ta beauté matinale

    Pour qu'elle éclate et se sauve..."

     

    René Char

     

    « Serenata andaluza...Les artistes et les chats »

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  • Commentaires

    6
    Mercredi 21 Mai 2014 à 18:17
    5
    Mercredi 21 Mai 2014 à 16:27
    Toujours intenses dans leur éclat les mots de Char. Cette semaine, je l'ai croisé à plusieurs reprises! Est-ce un signe?
    Bonne journée chal-heureuse!
    4
    Mercredi 21 Mai 2014 à 15:31
    …toujours des personnages merveilleux chez toi, c'est le tour de René Char aujourd'hui! (les grands artistes, les grands intellectuels, sont toujours là pour nous aider, quand on a besoin d'eux, n'est ce pas? et cela, m'arrive souvent!)

    J'en profite pour m'excuser, à cause d'un bug sur mon ordi, ton commentaire à mon post d'hier sur mon blog s'est effacé! j'en suis désolé… A bientôt Eva.
    3
    Mercredi 21 Mai 2014 à 09:08

    mais oui... et malheur à qui viole le Pacte... D'ailleurs, que faire de la liberté si elle est nue, vide, froide, sans véritable amour (de l'autre), sans respect de la parole donnée ?

    2
    Mercredi 21 Mai 2014 à 08:54
    Il est de bien belles prisons qui débouchent sur la lumière. La lumière du consenti. Du pacte.
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    1
    Mercredi 21 Mai 2014 à 00:20
    "On ne peut se retirer de la vie des autres et s'y laisser soi."
    Bonne nuit Eva
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