• L'oiseau du riad

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    Moi je fus avec toi si vite accoutumé !

    Nos jeux étaient nos seuls loisirs ;

    Lorsque tu me voyais dans ma chambre enfermé

    Tu chantais. A ta voix aimée

    Mon ennui devenait plaisir...

     

    Alphonse de Lamartine

    « En train entre Marrakech et RabatLe parc Moulay Abdeslam à Marrakech »

  • Commentaires

    15
    Jeudi 17 Juillet 2014 à 16:44
    14
    Jeudi 17 Juillet 2014 à 08:16
    De toutes façons tout ce qui est du registre du sensible trouve un tel écho en toi, amie que j'embrasse...
    13
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 23:08

    Ainsi j'avais deviné... Tu lui parlais avec tant d'affection, je pensais bien qu'il veillait sur vous ! 

    12
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 19:02
    Ces petits oiseaux, les "t'bibit", si familiers, sont censés apporter le bonheur dans la maison qu'ils emplissent de leur joli gazouillis.
    11
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 10:54
    Ce petit oiseau venait probablement dans les jardins du harem et les femmes enfermées étaient enchantées ! Belle image Eva
    10
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 10:45
    9
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 10:44

    Où j'habite à présent, je n'ai qu'une petite cour fermée, j'ai quelques plantes fleuries et des herbes aromatiques, mais les oiseaux ne viennent pas et ils me manquent énormément. Bonne journée Thami

    8
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 10:42

    Je crois savoir qu'il est un familier du lieu, et qu'il vient régulièrement... C'est la raison pour laquelle je n'ai retenu que cette strophe du poème...

    7
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 10:40

    Bonjour cher Nathanaël... C'est un oiseau qui revient toujours... C'est l'oiseau de l'enchantement, celui qui fait briller l'instant... Il est comme la Lumière... Il console de tout, de la vie cruelle et de la vanité de toute chose, de l'absurdité, de la souffrance et de la mort... C'est l'oiseau libre et furtif, celui dont on attend le retour sur la branche...

    6
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 09:45
    un petit rien, ça peut changer une vie un petit rien, quelques plumes d'ange, un gazouillis cristallin et la vie enchantée. Las il est parti, mais ce qu'il a laissé nul ne le prendra.
    bonjour Eva.
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    5
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 00:50
    Un oiseau qui je l'espère n'a pas connu le sort du chardonneret.
    4
    Mercredi 16 Juillet 2014 à 00:05
    Cela me rappelle un séjour dans le moyen Atlas dans un gîte. Le rossignol haut perché dans le caroubier chantait nuit et jour: la seule fois où j'ai apprécié mes insomnies...
    Bonne nuit chal-heureuse!
    3
    Mardi 15 Juillet 2014 à 19:36

    alors là... bouche bée d'admiration ! 

    2
    Mardi 15 Juillet 2014 à 19:31
    Je connais par coeur le poème de Rimbaud Eva!
    1
    Mardi 15 Juillet 2014 à 18:32
    j'aime ce minuscule oiseau
    et les vers de Lamartine...
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