• Laurent Terzieff et Milosz

     

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    "Vie ! ô amour sans visage !

    Toute cette argile a été remuée, hersée déchiquetée, jusqu'aux tissus où la douleur elle-même trouve un sommeil dans la plaie...

    Et je ne peux plus, non je ne peux plus, je ne peux plus !"  

    Milosz (la charette)

     

    Terzieff disait de Milosz : "je ne vois pas de poète qui ait porté aussi loin le besoin d'amour fou, la souffrance, la barbarie, l'injustice, mais en même temps l'éblouissement devant la beauté de la vie. En premier lieu je voudrais parler de la conscience du temps chez Milosz, le temps comme de l'éternité volée."

     

    source de ce billet : le très beau site Esprit Nomades  http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/terzieff/terziefflaurent.html  

    « L'heure bleue.Ballades de la jeunesse (Miguel Hernandez) »

  • Commentaires

    3
    Jeudi 30 Mai 2013 à 15:47
    Je garde ce lien ainsi que le tien pour des lectures à temps reposé.
    "je te mets en lien dans la colonne de droite si tu permets..."
    Eva, Tu es une grande fleur belle et bien cultivée alors tu fais comme tu sens comme tu crois, merci pour cette courtoisie.
    2
    Jeudi 30 Mai 2013 à 15:14

    "Esprits nomades" est une source d'inspiration et de belles découvertes pour moi. Il est hors des sentiers battus et très personnalisé, toujours à fleur d'émotion... Je te mets en lien dans la colonne de droite si tu permets...

    1
    Jeudi 30 Mai 2013 à 11:46
    Bien sûr qu'il est beau...toujours.

    « Se mettre à l'écoute du monde, pour en être la caisse de résonance ».
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