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Les polaroïds censurés de Balthus
"Anna, c'était la dernière muse de Balthus. Pendant huit ans, tous les mercredi après-midi, à la fin des années 1990 elle a posé pour le peintre dans le Grand Chalet de la Rossinière en Suisse."
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Commentaires
Balthus l'autodidacte entouré de ses chats et de ses jeunes filles..." Je ne pourrai jamais peindre une femme nue. Je trouve la beauté des jeunes filles plus intéressante et parfaite que celle des femmes. Elles incarnent le devenir, l'avant-être, elles symbolisent en somme la beauté la plus parfaite".
C’est une belle histoire de complicité entre la jeune fille et le peintre finalement, mais les « bien-pensant » en avaient décidé autrement…
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Jeudi 23 Février 2017 à 20:13
Tout à fait d'accord !
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Jeudi 23 Février 2017 à 14:58
J'ajoute, Dan que "accuser Balthus d’être un pédophile avide, c’est céder à l’hystérie, de celles dont on fait les meilleures chasses aux sorcières. Plus grave: c’est ne rien comprendre à rien." (L'hebdo) billet de l'Hebdo
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Jeudi 23 Février 2017 à 13:51
J'adore Balthus ! Il disait "Je vois les adolescentes comme un symbole. Je ne pourrais jamais peindre une femme. La beauté d'une adolescente est plus intéressante. L'adolescente incarne l'avenir, l'être avant qu'il ne se transforme en beauté parfaite. Une femme a déjà trouvé sa place dans le monde, une adolescente non. Le corps d'une femme est déjà complet, le mystère a disparu."
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Merci pour la vidéo, et les textes qui accompagnent ! très touchant à lire et relire, voir et revoir.
"la perfection en devenir","avant l'accomplissement" ! très joli, encore faut-t-il savoir l'exprimer en dessin, ce que réalise Balthus !