• Light House (Ricardo Fernàndez Ortega)

     

     

    Light house

       

    La maison de la lumière est une barque ensablée, gardée par une vestale radieuse et solitaire portant haut la petite flamme de l'espérance...

    Inlassablement, elle continue d'allumer les lampions flottant dans les marécages les plus obscurs...

     

    eva, ce 12 juillet 2015

     

    "Light House" Huile sur toile de Ricardo Fernàndez Ortega

    « Goran BregovicVignoble de Cahors »

  • Commentaires

    15
    Dimanche 19 Juillet 2015 à 10:48

    @ Henri-Pierre : En photo comme en art pictural, c'est la Lumière qui est importante... Même chez Soulages qui aime tant le Noir... surtout chez Soulages...

    14
    Samedi 18 Juillet 2015 à 19:10
    Henri-Pierre

    belle allégorie aussi bien illustrée que dessinée, il faut savoir rallumer en nos esprits les lumières qui nous ont parfois été données pour traverser l'obscurité des chemins de nos itinéraires. Car il y aura toujours un autre petit fanal pour nous dire la beauté immanquable de la vie.

    13
    Vendredi 17 Juillet 2015 à 16:46

    Magnifique! Merci pour la découverte!

    Bonne fin de semaine lumineuse et chal-heureuse!

    12
    Vendredi 17 Juillet 2015 à 12:28

    Une très belle page où l'ombre et la lumière se partagent la place...qui de l'un ou de l'autre prendra le pas sur l'autre...Souvent, la flamme d'espérance vacille et sa lueur est bien prêt de s'éteindre...Amitiés

    11
    Jeudi 16 Juillet 2015 à 22:57

    La lumière Nikole.... la lumière...

    10
    Jeudi 16 Juillet 2015 à 10:51

    Je ne sais parler de ce tableau. Surréaliste, peut-être, alors pourquoi sa lumière, sa présence et sa pregnance me troublent-elles, m'émeuvent-elles comme celles de Caillebotte ou Emile Friant, comme si j'étais tout près, tout près, au point de sentir les êtres, et leur irradiante épaisseur.
    Merci pour la découverte !

    9
    Mercredi 15 Juillet 2015 à 11:49

    Tu nous fais découvrir tant de belles choses. Merci, Eva, pour tout cela.

    8
    Mercredi 15 Juillet 2015 à 11:15

    Une jolie sirène que beaucoup aimeraient rencontrer au clair de lune !!! Bises chère Eva la romantique

    7
    jibie
    Mardi 14 Juillet 2015 à 17:20

    que la petite flamme ne s'éteigne jamais ;


    bel article encore, bonne soirée Eva

    6
    Lundi 13 Juillet 2015 à 20:49

    Bonjour


    J'aime beaucoup ce tableau!


    Bisous

    5
    Lundi 13 Juillet 2015 à 09:05

    @ Francesco : toujours une atmosphère mystérieuse et surréaliste chez Ricardo Fernandez Ortega ! et... je ne résiste jamais longtemps à ça !... comme lui ne résiste jamais longtemps aux portraits de jeunes femmes idéales... mes petits mots ordinaires sont un hommage à l'imaginaire comme ses toiles sont souvent un hommage à la beauté féminine... Baci Francesco :-)

    @ Danae : merci Danae, bisous et bonne semaine de fête nationale !

    @ Jean-François : finalement, tu as beaucoup plus d'imagination que moi !... tu comprends bien, que moi, si je ne vois pas le phare, je ne sais pas l'inventer ! Hhhhh ! bonne journée Jean-François et merci !

    @ Gérard : oui, la photo... c'est un genre de l'art pictural un peu démodé, mais je l'aime encore beaucoup dans la mesure où l'artiste y inclut la dimension de mystère (la quatrième dimension ?)... la fenêtre ouverte sur l'irrationnel et l'imaginaire, le symbolique aussi... C'est un genre un peu "snobé" de nos jours, mais... j'aime tant, j'aime tant... A vrai dire, je les aime tous...Tous les artistes... Pour toutes les raisons que tous les autres ne les aiment pas, quel que soit les styles, les époques... 

    4
    Dimanche 12 Juillet 2015 à 22:58

    J'aurais penché pour une belle photographie, impressionnant de réalité ...tes mots la sublime.

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    3
    Dimanche 12 Juillet 2015 à 18:54

    Chère Eva, tu nous fais toujours rêver ! Pour ma part, je vois dans ce tableau toute la symbolique du phare (light house). La barque improbable a surgi de la nuit et s'est échouée sur le gravier du rivage constellé de pépites (ou de pièces d'or). La barque n'a pas de rames, elle ne pourra donc pas repartir d'où elle vient. On est dans une situation sans retour, mais la jolie vestale a pris la précaution de déposer un chenal lumineux à la surface des flots qui guidera de futurs naufragés. Elle s'apprête d'ailleurs à déposer sur l'onde un dernier lumignon en prenant soin d'entourer la hampe d'un pan de son vêtement (chaud !). Elle regarde sur sa droite la lumière du phare. Dans 3 secondes, tout sera noir à nouveau. Temps suspendu. Silence. 

    2
    Dimanche 12 Juillet 2015 à 18:44

    Très joli tableau bien présenté par tes mots toujours bien choisis, chère  Eva,. Ici est le temple de l'art  ! Bises et bonne soirée de dimanche.

    1
    Dimanche 12 Juillet 2015 à 18:41

    Tes mots, émouvants, forts, aux milles facettes sombres et lumineuses, sont un cadre précieux de beauté et de sensibilité à cette image magique, surréaliste et mystérieuse de Ricardo Fernandez Ortega.  Merci Eva cette page touchante!  

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