• Loin de moi...

     

    ellébores

     

    Loin de moi et semblable aux étoiles et à tous les accessoires de la mythologie poétique,

    Loin de moi et cependant présente à ton insu,

    Loin de moi et plus silencieuse encore parce que je t'imagine sans cesse,

    Loin de moi, mon joli mirage et mon rêve éternel, tu ne peux pas savoir.

    Si tu savais...

                                  (Robert Desnos)

                                                                                                                                        photo eva

    « Un jour...Petit hameau de son enfance... »

  • Commentaires

    20
    laura
    Vendredi 8 Août 2014 à 18:41
    Que c'est beau!
    Mais -moi qui n'y connaît rien en plantes- je pensais que l'hellébore était bleu...
    19
    Vendredi 25 Février 2011 à 13:49

    Je ne sais pas s'il en existe des bleus (il faudrait demander à Michel qui adore ces plantes et qui en a dans son jardin) mais je sais que "l'hellébore noir" appelé aussi "rose de Noël" produit des fleurs blanches ! Bises Laura, et bonne fin d'après midi.

    18
    Vendredi 25 Février 2011 à 09:16

    Probablement parce que l'absence magnifie, illumine l'être cher...

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    17
    Vendredi 25 Février 2011 à 01:19
    Ah, Desnos chez toi aussi...Séparation, absence, expérience douloureuse, pourquoi tous ces déchirements suscitent-ils de si belles phrases?
    16
    Jeudi 24 Février 2011 à 18:33

    L'absence exalte parfois mystérieusement la précision du souvenir...

    15
    Jeudi 24 Février 2011 à 18:33

    Hélas non Margareth ! Moi je n'ai que de petits perce-neige, et de maigres jacinthes...

    14
    Jeudi 24 Février 2011 à 17:16
    Fleurs de ton jardin ?
    13
    Jeudi 24 Février 2011 à 15:13
    On dit "loin des yeux, loin du coeur"... Rien n'est plus faux. La preuve en est des pensées dans les étoiles.
    12
    Jeudi 24 Février 2011 à 11:45

    Allez ! pas de fausse modestie avec moi ! (le seul sport que je pratique c'est "sieste du lézard au soleil" ! - mais là je suis imbattable !) Bon j'attends, j'adore l'Espagne !

    11
    Jeudi 24 Février 2011 à 11:35
    J'ai un autre article en vue avant, mais je te promets je vais le préparer, c'était en Sierra de Guara en Espagne ! mais je n'y ai pas fait de grands exploits car je suis une très mauvaise nageuse !
    10
    Jeudi 24 Février 2011 à 11:28

    Danae, je suis vite allée voir sur Google ce qu'est le "canyonning"... hé bien, je n'ai pas été déçue ! Moi qui ne suis pas sportive pour deux sous, je suis très-très impressionnée... J'attends donc tes billets de canyonning avec impatience... Bisous Danae.

    9
    Jeudi 24 Février 2011 à 11:18
    L'absence est cruelle entre deux êtres qui s'aiment et ta photo réchauffe l'atmosphère un peu triste du beau poème. Bises Eva
    8
    Jeudi 24 Février 2011 à 10:32

    ça va Pierrot ! pas de souci ! juste un p'tit coup de coeur pour Desnos !

    Bisous et bonne journée à toi

    7
    Jeudi 24 Février 2011 à 09:25
    Eloignement, séparation, ça crée toujours un maanque douloureux...j'espère que ce n'est pas ton cas eva, je t'embrasse, bonne journée...
    6
    Jeudi 24 Février 2011 à 05:54
    Là, tu me prends par les sentiments car j'adore les héllébores!
    Passe une bonne journée.
    5
    Mercredi 23 Février 2011 à 23:15
    C'est beau et le texte est si touchant ...
    4
    Mercredi 23 Février 2011 à 21:04

    ça ne me semble pas très abstrait pourtant... Tu ne saisis pas bien, probablement parce que tu n'as jamais été séparé de la femme que tu aimes...

    3
    Mercredi 23 Février 2011 à 21:02

    Bonsoir Yvon. Le film du petit chameau qui pleure m'a beaucoup émue bien entendu parce qu'il racontait l'histoire de ce bébé qui était refusé par la chamelle (mon coeur de mère a été touché !) mais aussi parce qu'il était tourné avec des gens sur place qui n'étaient pas acteur. Et que c'est une histoire vraie, puisqu'elle survient parfois, que les éleveurs font tout pour faire accepter le petit par sa mère (c'est important que le petit chameau ne meure pas, puisque tout tourne autour du troupeau bien sûr). Mais aussi, comme tu le soulignes, on pénètre intimement leurs coutumes, leurs croyances, leur vie quotidienne. A la fin du film, quand le jeune revient de la ville, dans la famille, il souhaite qu'on achète une télé (ou une radio, je ne me souviens plus très bien !). Tu es la deuxième personne qui me parle du chien jaune, que je ne connais pas... Il faudra que je me le procure. Bonne soirée Yvon. 

    2
    Mercredi 23 Février 2011 à 20:21
    bonsoir Eva,
    les consignes ne sont plus aussi dures que du temps de ghengis Khan, heureusement, mais il faut respecter leurs traditions religieuses, comme partout .
    J'ai beaucoup aimé aussi ce film du chameau qui pleure et je continue à le regarder car on peut voir certaines des coutumes que j'ai vécues moi-même, que ce soit pour boire, pour entrer dans une yourte...
    La même réalisatrice a tourné un autre film deux ans plus tard, le chien jaune de Mongolie, tout aussi beau et plein de tendresse
    bisous et bonne soirée
    1
    DAN
    Mercredi 23 Février 2011 à 20:01
    Mon esprit "catésien" doit être hermétique à certains écrits quand même !
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :