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Méditerranée
Dans le brûlant jardin de ta maison imaginaire,
Nous cueillerons les oranges du soleil,
Et rêverons derrière les volets clos...
Dans l’ombre fraîche de notre amour imaginaire,
Perdus à jamais au bleu "Méditerranée"
Nous saurons bien les oublier...
eva baila, ce 7 juin 2009(texte et photos ©)
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Commentaires
les volets clos à claires voies je ne connais rien de mieux quand le soleil cogne!Tous les mots sont permis Michel, et vous savez bien jouer avec les mots...
La reconnaissance dont vous jouissez est celle de vos pairs. Celle que j'évoquais, est l'intuition (le mouvement irraisonné en quelque sorte) qui porte vers un tableau en pensant "ça, c'est un Botticelli, ça c'est une toile de Michel Giliberti : c'est sa façon de peindre les mains, l'éclair mélancolique d'un regard, la finesse d'un grain de peau...
A bientôt Michel.
eva.Une maison comme ça, dans l'écrin du soleil et de celui de la mer, tous les rêves, tous les mots sont permis...
@ bientôt,
MichelBonne soirèe..bisesHélas non Dominique, c'est de la fiction bien entendu !
Les volets clos sont caractéristiques : la maison méditerranéenne est toujours fermée du côté de la rue, la vraie vie se passe du côté du "patio", jardin au centre de la maison, à l'abri des regards et de la chaleur... Bon week-end Dominique. eva.Vous étiez logée dans cette belle maison aux volets verts ?Toujours ce que j'aime :l'association textes/images. Merci pour tout cela.
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Matisse est là Francesco, probablement avec tous les hommes que j'aime et qui me ravissent (à tous les sens du mot), les peintres qui m'emportent au loin dans leur féérie colorée, les poètes avec leurs mots-sésame, dans un tourbillon de rêve, bien loin du morne quotidien...