• Mes mots...

    Mes mots...

     

     

    Mes mots

    mes pauvres mots

    ne sont plus des oiseaux

    tant ils ont déchiré leurs ailes

    aux barreaux

    de la cage

     

    mes mots

    ne sont plus que lucioles 

    attirés par Lumière

    de tes yeux

    et de

    ton

    silence...

     

    eva ©

     

    Illustration : "L'oiseau" Picasso 1928

     

    et avec la permission de Thami  ces photos de Thami :

     

    Mes mots...

     

    qui font partie d'une série intitulée "Codes-barres de la pesanteur"

     

    Mes mots...

     

    Mes mots...

     

    Mes mots...

     

    Le texte d'introduction rédigé par Thami pour cette série peut être lu ici :  Iconoclasse

     

    Merci à Thami Benkirane

    http://www.afriqueinvisu.org/codes-barres-de-la-pesanteur,408.html 

     

    « EmawayishLa Mer (Pablo Neruda) »

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  • Commentaires

    13
    Samedi 15 Août 2015 à 15:00

    @ Micromick : les photos de Thami sont toujours très créatives et d'une grande expressivité

    12
    Samedi 15 Août 2015 à 11:19

    Soif de liberté... Que de symboles dans ces superbes clichés!

    11
    Samedi 28 Février 2015 à 17:37

    Ce ne sont pas " de pauvres mots"  Eva, c'est un très beau poème !  j'aime beaucoup !  et les photos de Thami  , superbes !


    Je t'embrasse , je continue ma lecture...toujours du retard !

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    10
    Philippe D
    Jeudi 26 Février 2015 à 21:40

    Même si les mots ne peuvent plus voler, ils peuvent encore éblouir! 

    Bonne fin de semaine.

    9
    Jeudi 26 Février 2015 à 20:22

    Dan, on peut être tous d'accord avec ça...

    8
    DAN
    Jeudi 26 Février 2015 à 20:06

    Je,suis bien d'accord avec ce que dit Thami et que tu as souligné !

    7
    Jeudi 26 Février 2015 à 18:18

    ah Francesco ! toute la série de Thami est d'une beauté extraordinaire ! et lors de la présentation de son expo, Thami rappelle que "De tous les temps, l’Homme a caressé le rêve conscient ou inconscient de voler à l’instar de l’oiseau. Il y a donc comme une sorte de paradoxe : d’un côté, pour l’être humain, l’oiseau est synonyme de liberté et de l’autre, certains humains lui ôtent cette liberté pour le maintenir prisonnier d’une cage ! C’est donc par extension que j’ai cherché à rappeler à l’Homme que lui aussi est en liberté illusoire voire provisoire et que les barres de sa prison sont très souvent invisibles ou immatérielles…"

    et de toutes les photos parmi lesquelles j'avais à choisir, j'ai préféré la 1ère parce que le personnage avec son vêtement noir semblait écartelé contre les barreaux de sa cage, comme l'oiseau de Picasso, ensuite le deuxième m'attendrissait parce que c'était un adolescent, l'âge où le désir de liberté se fait le plus pressant, où le besoin de liberté est parfois ordalique, défiant toute autorité (parentale ou sociétale) et les deux autres photos parce qu'elles sont symboliques, et qu'elles rejoignent Matisse et d'autres peintres grâce à qui cette représentation de la liberté est désormais universellement connue... Merci de ton com Francesco :-)

    6
    Jeudi 26 Février 2015 à 17:59

    Ton poème Eva, est d'une beauté foudroyante…. et les photos de Thami sont extraordinaires…

    Texte et photos, font briller d'une lumière éblouissante, une rare affinité artistique!….  

    5
    Jeudi 26 Février 2015 à 17:55

    Bonjour

    Un très beau texte!

    J'aime beaucoup les photos!

    Bisous

    4
    Jeudi 26 Février 2015 à 13:50

    Oh Pierre ! merci pour cette précision ! On est toujours injuste avec les oiseaux (y compris Picasso !) J'étais en train de compléter mon billet par trois photos merveilleuses de Thami... Trois photos choisies parmi des quantités toutes plus belles et significatives les unes que les autres. Si tu as un moment, reviens voir aussi les liens, et surtout, lire son introduction à cette série (Codes-barres de la pesanteur) tellement belle, merci Photoem ! 

    3
    Jeudi 26 Février 2015 à 13:27

    Bon jour Eva,     Tes mots sont des lucioles lumineuses, vraiment.

    En ce qui concerne Picasso, dont je n'ai que le vernis culturel d'un béotien de base, si il s'est inspiré du "crave à bec rouge", il s'est gouré sur la couleur des pattes (pardon, pardon, pardon...oops).

    http://www.oiseaux.net/oiseaux/crave.a.bec.rouge.html

    2
    Jeudi 26 Février 2015 à 12:01

    eh bien Thami, si je retrouve ta série, je lui dédie ces mots-là, c'est trop d'honneur pour moi...

    1
    Jeudi 26 Février 2015 à 11:48

    Et moi, j'aurai aimé avoir ton poème pour qu'il accompagne l'une des photos de la série "Codes-barres de la pesanteur". Le Picasso est  superbe! Bonne journée chal-heureuse!

     

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