• Ô triste, triste était mon âme...

     

    Ô triste, triste était mon âme...

     

     

     

    « Le Musée du Bardo à Tunis.L'espérance folle... »

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  • Commentaires

    4
    Mardi 21 Janvier 2020 à 00:05

    Ah Leo Ferré, merci, merci, de le ressortir des limbes où notre monde l'a si injustement remisé.

      • Mardi 21 Janvier 2020 à 10:38

        Tout d'un coup je pense à "L'âge d'Or"... celui des grandes espérances déçues... 

         

         

         

         

         

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    3
    Lundi 20 Janvier 2020 à 10:39

    BonJour Eva,

    Ce n'est pas si souvent que quelqu'un évoque Léo Ferré. Peut-être était-il moins accessible que ces deux collègues de la sainte trinité. Merci Eva pour ce billet qui me plonge dans un profond blues.

      • Lundi 20 Janvier 2020 à 13:30

        Bonjour Pierre, c'est toujours un peu le blues avec  Léo... J'aime les poètes mis en musique, ces chansons-là ont le mérite de faire connaître, et de faire vivre la vraie poésie. Le personnage de Léo a beaucoup plu en 68, quand on prônait l'anarchie... aujourd'hui, je suis perplexe : je ne saurais même pas dire ce qui est "prôné"... En tout cas, pas la VRAIE culture, pas la VRAIE poésie, pas la VRAIE littérature... Tout le monde chante, tout le monde bagarre, tout le monde écrit (les écrivaines, les écriveuses, celles et ceux qui n'ont rien à dire -sauf vider leurs poubelles de famille- Le papier boit l'encre n'est-ce pas, et les lecteuses et lecteurs dégustent avec gourmandise... et les faux-écrivains, ramassent l'oseille...

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