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Omar Khayyâm, Robaiyat XXXVII
" Je ne peux pas apercevoir le Ciel. J'ai trop de larmes dans les yeux !
Les brasiers de l'Enfer ne sont qu'une infime étincelle,
si je les compare aux flammes qui me dévorent.
Le Paradis, pour moi, c'est un instant de paix."
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Commentaires
mdr. C'est tellement vrai. Allez, gardons le moral...NOUS SOMMES D'ACCORD.Je regrette vraiment, à aucun moment je ne cherche un bouc émissaire. Comme toi, je n'évoque pas non plus mes soucis quotidiens, comme toi, je pense que ça n'a pas d'intérêt pour les visiteurs... Simplement je suis comme Omar Khayyâm, je n'ai pas demandé à vivre (d'ailleurs, je ne connais personne qui l'ait vraiment demandé, j'ai grande hâte que tout ça se termine parce que ça me gonfle infiniment...et je ne pense pas que cela soit particulièrement grossier de l'affirmer, et de revendiquer son dégoût pour toute cette comédie de la vie)
Je suis attriste par l'accumulation de déconvenues et de grossièretés qui m'ont atteint par vagues, ces temps derniers. Et parfois, trop c'est trop. Je souffre d'être trop souvent prise comme bouc émissaire, d'arriver trop souvent au mauvais endroit et au mauvais moment. je n'ai pas le chic, je n'y peux rien.
Beaucoup de travail et des ennuis familiaux et de santé que je n'évoque jamais (chat moi, je ne tiens personne pour responsable)
Tu ne m'as pas attristée. Ne perds pas ton rythme et pense parfois a te détendre un peu
AmicalementArmide, je ne voulais pas t'attrister ! Chez moi, c'est une philosophie, et ne révèle pas de tristesse particulière ! Désolée... je viendrai voir Pistol et ses petits copains en fin d'après midi (j'ai travaillé jusque tard hier soir, et aussi ce matin... rien ne se fait à la maison, je suis speed, depuis quelques jours...)
Bofff, je ne le disais pas dans ce sens la.
Mais quelle triste humeur je rencontre partout ces jours ci.
Je crois que je ferais mieux de me mettre sous la couette- Merci cher Alain, j'espère bien qu'un jour, je me mettrai au carnet de voyages (je vais avoir tout mon temps, à présent que je ne voyage plus !...)
Les poètes aiment, forcément ! Comment pourrait-il en être autrement ? Ils aiment et souffrent plus intensément que le commun des mortels... Ils brûlent en toutes choses, et ne connaissent point la tiédeur si confortable des gens raisonnables...
La définition que j'ai du paradis...Intéressant poème, jolie photo, superbe travail de Giliberti par ailleurs,
Grosses bises Eva,
AMJe ne connaissais pas celle-ci. Voici qui brille de mille feux la douleur exposée sans aucune pudeur ! C'est rare. Donc sa vie était un enfer : il aimait malgré tout. Il noyait sa douleur dans l'alcool qui lui donnait la clairvoyance pour son art. Art qui lui permettait de sublimer cette douleur. un personnage très, très intéressant...J'ai toujours un grand plaisir à lire ce poète. Bonne journée.L'amour fou fait des ravages
quel que soit notre âge
même les personnes volages
subissent ses dommages
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