• Omar Khayyâm, Robaiyat XXXVII

     

    Hellébore

     

    " Je ne peux pas apercevoir le Ciel. J'ai trop de larmes dans les yeux !

    Les brasiers de l'Enfer ne sont qu'une infime étincelle,

    si je les compare aux flammes qui me dévorent.

    Le Paradis, pour moi, c'est un instant de paix."

    « Le blues de toi...Pise et Maupassant »

  • Commentaires

    19
    david
    Vendredi 8 Août 2014 à 18:22
    Salut, je viens de découvrir votre blog, c'est très intéressant. Si vous aimez la poésie, rendez-vous sur mon blog tout neuf:

    http://davidcontrebande.overblog.com

    Faites courir le bruit autour de vous
    18
    Samedi 18 Février 2012 à 17:05
    La passion ou la tranquillité ? Ou le rêve...

    Bise Eva
    17
    Samedi 18 Février 2012 à 15:16
    mdr. C'est tellement vrai. Allez, gardons le moral...
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    16
    Samedi 18 Février 2012 à 14:33

    ...! Pistol dit "Je crois en Dieu : il ouvre la porte du frigo"  

    15
    Samedi 18 Février 2012 à 14:31
    NOUS SOMMES D'ACCORD.
    14
    Samedi 18 Février 2012 à 14:23

    Je regrette vraiment, à aucun moment je ne cherche un bouc émissaire. Comme toi, je n'évoque pas non plus mes soucis quotidiens, comme toi, je pense que ça n'a pas d'intérêt pour les visiteurs... Simplement je suis comme Omar Khayyâm, je n'ai pas demandé à vivre (d'ailleurs, je ne connais personne qui l'ait vraiment demandé, j'ai grande hâte que tout ça se termine parce que ça me gonfle infiniment...et je ne pense pas que cela soit particulièrement grossier de l'affirmer, et de revendiquer son dégoût pour toute cette comédie de la vie)

    13
    Samedi 18 Février 2012 à 13:37
    Je suis attriste par l'accumulation de déconvenues et de grossièretés qui m'ont atteint par vagues, ces temps derniers. Et parfois, trop c'est trop. Je souffre d'être trop souvent prise comme bouc émissaire, d'arriver trop souvent au mauvais endroit et au mauvais moment. je n'ai pas le chic, je n'y peux rien.
    Beaucoup de travail et des ennuis familiaux et de santé que je n'évoque jamais (chat moi, je ne tiens personne pour responsable)
    Tu ne m'as pas attristée. Ne perds pas ton rythme et pense parfois a te détendre un peu
    Amicalement
    12
    Samedi 18 Février 2012 à 13:30

    Armide, je ne voulais pas t'attrister ! Chez moi, c'est une philosophie, et ne révèle pas de tristesse particulière ! Désolée... je viendrai voir Pistol et ses petits copains en fin d'après midi (j'ai travaillé jusque tard hier soir, et aussi ce matin... rien ne se fait à la maison, je suis speed, depuis quelques jours...)

    11
    Samedi 18 Février 2012 à 13:23
    Bofff, je ne le disais pas dans ce sens la.
    Mais quelle triste humeur je rencontre partout ces jours ci.
    Je crois que je ferais mieux de me mettre sous la couette
    10
    Samedi 18 Février 2012 à 12:47

    ah bien sûr ! j'en ai une encore meilleure : le néant !

    9
    Samedi 18 Février 2012 à 12:27
    • Merci cher Alain, j'espère bien qu'un jour, je me mettrai au carnet de voyages (je vais avoir tout mon temps, à présent que je ne voyage plus !...)
    8
    Samedi 18 Février 2012 à 12:24

    Les poètes aiment, forcément ! Comment pourrait-il en être autrement ? Ils aiment et souffrent  plus intensément que le commun des mortels... Ils brûlent en toutes choses, et ne connaissent point la tiédeur si confortable des gens raisonnables...

    7
    Samedi 18 Février 2012 à 00:12
    La définition que j'ai du paradis...
    6
    Vendredi 17 Février 2012 à 19:29
    Un moment de paix...
    Le seul vrai présent de la vie
    5
    Vendredi 17 Février 2012 à 11:35
    Intéressant poème, jolie photo, superbe travail de Giliberti par ailleurs,
    Grosses bises Eva,
    AM
    4
    Vendredi 17 Février 2012 à 10:06
    Je ne connaissais pas celle-ci. Voici qui brille de mille feux la douleur exposée sans aucune pudeur ! C'est rare. Donc sa vie était un enfer : il aimait malgré tout. Il noyait sa douleur dans l'alcool qui lui donnait la clairvoyance pour son art. Art qui lui permettait de sublimer cette douleur. un personnage très, très intéressant...
    3
    Vendredi 17 Février 2012 à 09:50
    J'ai toujours un grand plaisir à lire ce poète. Bonne journée.
    2
    Vendredi 17 Février 2012 à 09:32

    hé oui ! faut se méfier des flêches empoisonnées... 

    1
    DAN
    Vendredi 17 Février 2012 à 09:05
    L'amour fou fait des ravages
    quel que soit notre âge
    même les personnes volages
    subissent ses dommages
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