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Ombre et Lumière...
Jacques Majorelle : souk à Bab Debar
eva : medina d'Essaouira
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Commentaires
Beau rapprochement entre l'œil du peintre et celui du photographe.
Depuis moins de 10 ans on ne voit pratiquement plus de haïks à Essaouira...ah, les bleus de Majorelle!
et puis les différents souks et leur atmosphère: le harcèlement à Marrakech, la foule de touristes à Essouira, la vie authentique à Tozeur ... merci pour le rappel de ces très bons souvenirsInfatigable voyageuse photographe, va ! Un p'tit bonjour du Poitou.Belles résonances lumineuses entre peinture et photographie.
Bonne fin de soirée chal-heureuse!Le Maroc est une terre inspiratrice pour les peintres. Belle semaine ma chère Eva et bisesJe savais bien que ça t'intéresserait ! Tout est manipulation comme on peut le constater, il suffit d'en avoir bien conscience... Bonne journée Dan !
Bonsoir Éva,
J'ai lu entièrement cet article, et cela me fait penser à la manipulation des images que tout homme politique met en œuvre afin d'asseoir sa politique sur des faits ou des paroles soit-disant vrai. Un qui était passé maître en la matière était Joseph Coebbels, ministre de la propagande d'Hitler.
Depuis que l'image photographique existe elle a servi de moyen de propagande ou d'endoctrinement;
Sans aller chercher si loin dans les intentions des hommes de ce servir de ce moyen, dès les premières cartes postales les déformations d'objectif ont été gommé de ces photos. Si tu regardes deux photos du même point de vue, une faite au début du XXe siècle et l'autre à notre époque, l'ancienne photo ne comportera JAMAIS de déformation dues aux objectifs. Les verticales sont toutes parallèles et ne sont jamais dans un effet de perspective comme peuvent l'être une photo d'aujourd'hui où si tu photographies une rue bordée de maisons, ces dernières auront toujours leur perspective pointée vers un point central en haut de la photo.
Tout ça pour te dire que la photographie d'aujourd'hui bénéficie de logiciel qui permettent des trucages quasiment invisibles aux yeux non exercés, la concurrence là aussi, comme dans bien d'autres domaines fait que c'est celui qui aura fait le cliché déclenchant le plus de 'émotion qui remportera le «marché».
J'ai été un peu long je m'en excuse alors je te souhaite une bonne nuit Éva !OK ça me semble intéressant, je garde le lien et lirais ça à tête reposée !
Bonne soirée Eva !c'est quoi "bidouillage" ? en photographie il y a forcément "bidouillage"... je vais t'indiquer un blog où quelqu'un t'explique ça d'une façon magistrale...
http://du-photographique.blogspot.fr/2013/02/chronique-controversee.html
tu verras, c'est un peu long à lire, mais c'est très intéressant...
Justement question lumière quand je peins à l'extérieur je peux doser mes teintes, accentuer un éclairage par une ombre plus foncée, de même la lumière ressortira mieux si les teintes chaudes sont en avant et les froides en arrière, mais vas faire ça avec un appareil photo, à moins de trifouillé avec un logiciel de retouche, et encore on n'est pas certain d'y parvenir. Moi qui suis «peintre» et photographe, j'aimerais parfois avoir la rigueur de représentation d'une photo avec les couleurs obtenu avec la palette du peintre, pas facile de concilier tout ça !
Bonne soirée Éva !L'art pictural a cessé d'être conventionnel dès que la photographie est née : la peinture n'avait plus besoin de copier la réalité et dès lors, a pu trouver d'autres moyens d'expression... Ainsi est né l'Impressionnisme qui était cette magie de jouer avec la lumière... ah ! la Lumière !
Ce n'est guère facile en photo, même avec un appareil performant, c'est pour cela que la peinture sera toujours supérieure à la photo de ce point de vue.
Bon dimanche ensoleillé à toi aussi Eva !Mais oui, et le système (toujours appliqué dans les médinas) est très efficace ! Je n'ai pas réussi, avec la photo, à faire aussi bien que Majorelle ! Bon soleil Dan !
S'il y a bien une chose difficile à rendre en peinture, c'est l'ombre "lumineuse" comme ici, et là c'est parfait on s'y croirait !
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J'avais fait un billet ayant pour objet les vêtements du Maroc, et c'est à Essaouira que j'ai vu le plus de haïks ! (sur le port) Le guide avait attiré notre attention sur la persistance de la diversité des vêtements dans son pays, ceux-ci étant un signe d'appartenance à une tribu (vers le sud) et à des traditions
http://eva.baila.over-blog.com/article-24794651.html