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    Hommage à Saul Leiter

     

    J'aime l'homme, j'aime ses photos, je vous invite à lire le billet de mon amie Noëlle : Entre tendresse et solitude

     

    et aussi à visionner d'autres photos ici : galeriecameraobscura


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    "Le monde en noir et blanc recèle quelque chose de mystérieux qui ne peut être décrit, et qui est formidablement séduisant. Est-ce faux de penser que cela touche nos coeurs d'autant plus fort que nous vivons à une époque où tout peut être photographié en couleur ?" (Shoji Ueda)

     

    photo eva (Aube)


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    Nu dans une mansarde Paris 1949 Willy Ronis

     

    Willy Ronis : Nu dans une mansarde, Paris 1949

     

    Willy Ronis a toujours eu beaucoup d'admiration et de respect pour le corps féminin. Il le connaît, le parcourt, l'exalte et le traite avec pudeur et retenue. Ici, on est dans une mansarde modeste et dépouillée au sixième étage d'un immeuble parisien, les murs s'effritent et le sol est taché. La pose de la jeune femme s'inscrit dans la grande tradition des peintures du XIXe siècle, connues et appréciées de Ronis : il "revisite" en photo La Femme au perroquet de Gustave Courbet qui représente une femme étendue sur un lit défait, exécutée avec beaucoup de réalisme et de sensualité. Cueilli dans un moment d'abandon discret, les mains derrière la tête et les cheveux défaits, le modèle se donne explicitement au photographe. Les draps foncés sur lesquels la jeune femme est allongée soulignent les courbes harmonieuses de son corps pâle dans un jeu raffiné de noir et blanc. Le visage tourné de l'autre côté de l'objectif, et du spectateur, donne le ton de la scène, à mi-chemin entre le rêve éveillé et le désir charnel.

     

     

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    Gustave Courbet : la femme au perroquet


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    l’Amour-passion traverse la vie en un galop furieux,

    Course brève des crinières emmêlées comme les sentiments fortuits,

    A la lueur d’éclairs des armes brandies vers le ciel,

    Claquements secs, nuages de poudre,

    Cavalcade rythmée des sabots soulevant la poussière,

    Symphonie de couleurs chatoyantes et cris gutturaux,

    Les fiers cavaliers de la Fantasia, sont les amants des passions éphémères,

    Eblouissantes, imprévues et ravageuses…

     

    eva  (20 août 2012) 

     

     

    La très belle photo anonyme illustrant ce texte a été trouvée sur FB en 2012. Si l'auteur reconnait sa photo, je pourrai alors le citer, ou bien l'ôter de mon blog s'il le désire.


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