• Vladimir Romantsov ©

     

    Photo Vladimir Romantsov ©

     

    "Oui vraiment, il y avait des ondes, des remous de lumière ; sur la mousse, des étincelles comme des gouttes ; oui vraiment, dans cette grande allée, on eût dit qu'il coulait de la lumière, et des écumes dorées restaient au bout des branches parmi ce ruissellement de rayons..."

    André Gide in "Les nourritures terrestres"

     

     


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    Chema Madoz.

     

    «El blanco y negro es un territorio para trabajar con un parámetro de una recreación. Te acercas más al dibujo, a la representación, aunque creo que mis imágenes podrían funcionar también en color», ha expresado el artista, Premio Nacional de Fotografía en el años 2000.

    «Le noir et blanc est un territoire où travailler avec un paramètre de re-création. On se rapproche davantage du dessin, de la représentation, même si je pense que mes images pourraient aussi fonctionner  en couleur » Chema Madoz

     

    José Maria Rodriguez Madoz, né à Madrid en 1958, est un photographe espagnol. Le noir & blanc est sa technique de prédilection, son expression graphique est aux confins du surréalisme et de l'allégorie. Par le mariage d'objets détournés, il suscite tantôt une réflexion sociétale, un éveil poétique ou un regard "décalé". La dimension paradoxale de ses "raccourcis" visuels est un des éléments fondateurs de sa démarche. (Wikipedia)

     

     

      


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  • Nature morte...

     

     

     

    Cette photo de Brett Walker, intitulée « le verre d’eau » représente esthétiquement tout ce que je chéris : les tissus, la verrerie, le mystère du contre-jour… Depuis que j’ai vu cette nature-morte, je ne pense qu’à elle, elle m’obsède, me possède, me poursuit le jour, la nuit, sans relâche…

     


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    Penché dans l'après-midi...

     

    "Inclinado en las tardes"

    Paco Ibáñez  chante un poème de Pablo Neruda

     Photos © Tina Kazakhishvili

     

    "Penché dans l'après-midi, je jette mes filets tristes

     à cette mer qui secoue tes yeux océaniques.

    Là, s'étire et brûle dans le brasier le plus élevé,

    ma solitude qui me tord les bras comme un naufragé.

    Je fais des marques rouges sur tes yeux absents

    qui bougent comme la mer au bord d'un phare.

    Et les oiseaux de nuit picorent les premières étoiles

    qui scintillent comme mon âme quand je t'aime. 

    Et galope la nuit sur sa jument sombre, 

    éparpillant des épis d'azur sur le terrain

    Tu es gardienne des ténèbres, femme distante et mienne,

    De ton regard émerge parfois, la côte de l'épouvante."

     

     

     Site officiel de : Tina Kazakhishvili

      


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