-
Pobre Martín (Paco chante Brassens)
J’ai choisi cette version de « Pauvre Martin » parce que Paco la chante mieux que Brassens…(avec plus de sensibilité, plus de tendresse).
Les photos que j’ai choisies datent d’une époque où les gens de la campagne étaient aussi pauvres que Martin. La campagne française est désormais peuplée de grosses exploitations, et aussi de « rurbains » ou de résidents secondaires qui ignorent tout de ce qui faisait le quotidien du pauvre Martin. Pour les œuvres picturales, Van Gogh est toujours pour moi, le « pauvre misère » solitaire jusqu’au dernier instant.
Tags : chansons
-
Commentaires
Magnifiques souvenirs de la rude vie de ces " paysans " du temps où la ruralité était une belle réalité, celle que j'ai connu à travers mes deux grands pères qui en faisaient partie...
La terre est basse.....
Très belle interprétation de Paco et très beau clip
Bonne fin de semaine
Une page qui me touche profondément, et le cœur qui bat fort en regardant ta vidéo. Merci. Et en plus tu remues en moi des souvenirs d'enfance où j'ai connu cela. Van Gogh en plus, émotion garantie. Bonne journée. Je t'embrasse.
-
Samedi 11 Mars 2023 à 10:36
Tant mieux ... c'est drôle, car moi j'explique demain comment , au moins parfois, "diluer une colère" ... ;-)
-
Samedi 11 Mars 2023 à 10:11
Merci Nikole, j'ai fait cette video dans un moment de grande tristesse, et ça m'a guérie un peu de la sentir autant appréciée...
-
BonJour Eva. Je partage ton avis à propos de Paco Ibañez et je crois que pour une reprise soit belle, l'interprète doit y apporter sa propre émotion. Sinon ça tombe à plat et même pire. Je ne ferai pas la liste des interprètes (et de leurs interprétations) de ceux ou celles que j'aime même si elle est un peu courte.
Et comme toujours, les image que tu as choisies pour ta vidéo sont joliment appropriées.
-
Samedi 11 Mars 2023 à 10:10
Bonjour Pierre, j'ai vu récemment une interview de Brassens (de 1974) où il dit qu'à l'époque où il a écrit cette chanson (ainsi que celle intitulée "Bonhomme") sont les deux seules qu'il considère les meilleures (il dit que les autres étaient très mauvaises !).
-
Suivre le flux RSS des commentaires
Ajouter un commentaire
Boire la lumière comme lézard sur la pierre
Créer mon blog
La France était déjà entrée dans les "30 glorieuses" que dans les campagnes de l'Espagne franquiste les paysans, au mieux chaussés d'espadrilles grossières et plus souvent de sandales de fortune aux semelles découpées dans des vieux pneus, arpentaient les chemins de pierre et de poussière. Ils avaient la vêture des gueux mais le regard fier des princes.
Sur la misère cordialement partagée fleurissait parfois la joie d'une fête arrosée de mauvais vin et nourrie d'une poignée d'olives agrémentée de minces tranches noires jambon de chèvre.
Voilà...
Je suis allée en juillet 1970 en Espagne... j'ai seulement "fait la touriste"... Les rues étaient fermées le soir par "le sereno"... Que c'est loin tout ça...