-
Preface to a dream (Katia Chausheva)
"Je fais mourir de faim l'amour pour qu'il dévore ce qu'il trouve."
Octavio Paz (Liberté sur parole, 1958)
photo Katia Chausheva ici
-
Commentaires
Quant à la passion, c'est une maladie, qui fait mal mal et peut être mortelle oui.
Avec l'âge, en tt k c'est ce que je crois, l'amour, profond mais aspirant à une certaine sérénité, me convient beaucoup mieux.
-
Mardi 23 Février 2016 à 18:05
-
Mardi 23 Février 2016 à 15:36
On a tous - enfin beaucoup, je présume- connu des amours passionnées et dévastatrices, qui heureusement, ne conduisent pas toutes vers la mort ou la folie, ou seulement un temps, mais c'est vrai que parfois la spirale est infinie et ne s'arrête jamais : je plains beaucoup cette souffrance-là, qui n'a pas de fond.
-
Mardi 23 Février 2016 à 09:29
-
Ses photos sont décidément sublimes, mot qui ne veut pas dire grand-chose ... habitées, oniriques, mélancoliques peut-être, ouvrant sur un imaginaire infini. Quant à Paz, de même que Norge, ça fait des lustres que je "dois" voir ça de plus près ... un jour il faudra bien ...
Bonjour Eva.
J'ai une addiction à Katia Chausheva (via Flikr) et ses photos ne m'évoquent pas l'amour monstre et dévoreur.
-
Lundi 22 Février 2016 à 11:38
-
12el duendeDimanche 21 Février 2016 à 21:2511el duendeDimanche 21 Février 2016 à 21:24On voit que le printemps pointe le bout de son nez... dévorer ce qu'il trouve ! Heu... non alors... :-))
… du moment qu’on ne mange pas des appâts…rances.. ( je ne suis pas sérieux quand même)
-
Dimanche 21 Février 2016 à 20:37
-
Ajouter un commentaire
C'est une phrase sublime! Deux amours qui se trouvent et se heurtent à l'instantané ne peuvent que se dévorer! Photo très troublante et énigmatique!
Voilà, c'est exactement ça (il ne s'agissait pas du tout de se jeter sur n'importe qui)... J'ai senti ce que tu écris, mais je n'ai pas su le dire... Merci Alezandro...