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Répons d'eva au poète...
"In quell'abbaglio
Di luce elettrica
Dove respirano le parole
Quando la sera scende
Ad accarezzare gli odori
Del mio fragile universo
Io chiudo gli occhi
E mi pongo mille domande"
© Francesco Pagni, photo et poème
Sous la lampe qui veille,
les objets exhalent leur mystère parfumé…
C’est le coin des odeurs du monde,
comme toujours chez toi, et à jamais…
Au sein de ton univers fragile, les yeux fermés,
Tu cherches la réponse à mille questions,
C’est l’autel des prières du monde…
TU ES !
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Commentaires
Tu vois, Eva, je te le disais bien que les objets inanimés ont bien une âme...
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Mercredi 9 Mai 2018 à 22:53
J'en suis tellement convaincue mon ami, que si je ne me souviens pas toujours des visages, je suis capable de visiter l'intérieur d'un logis une seule fois, et de me rappeler pour toujours des objets insolites que j'y ai vus... tant il m'ont parlé...
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6luc delvauxMardi 8 Mai 2018 à 17:06
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Boire la lumière comme lézard sur la pierre
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BonJour Eva,
Les objets ont une âme tant qu'ils évoquent les Êtres qui les font vivre, ils meurent quand on les oublie, mais la mémoire les ressuscite quand nous les touchons, ou plutôt quand ils nous touchent.
bon, ben voilà une bonne chose de faite !... à l'occasion, je lui ferai savoir...
Et surtout, l'art de Francesco m'impressionne de plus en plus. Comment ai-je fait pour ne pas le dire d'abord ?