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Rif marocain.
"…il est venu vers moi, sans se presser, son bâton à la main, et je l'ai salué d'abord, comme l'exige la coutume..." Henri Bosco.
photos eva baila 2005 ©
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Commentaires
16Phil & ChrisVendredi 8 Août 2014 à 19:14Nous allons peut être nous répéter...Pour beaucoup d'articles les commentaires les complètement ..Un plaisir de lire l'ensemble,Bises bonne soirèeRépondrehttp://eva.baila.over-blog.com/article-25862025.html
Cher André, je n'ai lu de Paul Bowles que "Un thé au Sahara" et j'ai été fascinée... dans ce roman, j'ai trouvé la description d'un état fiévreux délirant, extrait que j'ai illustré à l'article dont tu trouveras le lien ci-dessus... Je n'avais rien lu de semblable nulle part (je n'ai certes pas une culture universelle !)... moi aussi je t'embrasse. eva.Merci eva. J'ai parcouru vite ton blog mais je reviendrai. La dernière photo me rappelle que je suis en train de lire (tout à l'heure, je serai d'ailleurs en train de le lire en train!) Le scorpion, nouvelles de Paul Bowles. J'aime beaucoup. Je pars deux jours à Paris. Je t'embrasse. André.Je ne l'ai pas fait exprès ! C'est un hasard ! Il paraît que les orties séchées roulées dans le tabac produisent un peu le même effet... je n'ai essayé ni les unes ni les autres ! (C'est mon cerveau qui fabrique tout seul les anti-stress... mais il y a aussi un risque d'acoutumance !..)
Dis donc Eva...après l'article sur le roi du Peace and Love,tu nous emmènes dans le rif marocain...c'est voulu?...lol...il est à préciser que certaines plantes "médicinales" aux vertus antistressantes récoltées dans le rif,puis séchées,et fumées ont fait la joie de beaucoup de babas-cool... bonne soirée Eva... Coooooooooool...Bonsoir Jaouad, tu as probablement raison, mais ce n'est pas la seule explication, un sourire, un geste chaleureux ne coûtent rien en temps...
ah la culture berbère est d'une chaleur et hospitalité extraordinairesJ'ose imaginer que tous les hommes sont ainsi. La différence vient du sens que les uns et les autres donnent au temps. Là, on prend le temps de laisser s'exprimer l'authenticité ... et là, on pense que le temps est d'argent et qu'il convient d'en maximiser l'utilité, la profitabilité. Dans cette dernière perspective, aller vers les autres est une perte sèche de temps. C'est là la seule différence. Bonne journée Eva.il me fait penser à mon voisin quand je gardais les bêtes. il traversait les prairies, et je m'avançais, je le saluais, et nous discutions de la pluie ou du beau temps. Il me disait quand il pleuvait, que jamais, nous n'avions été plus proche du beau temps ! clem
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