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Saadi, Saadi...
Je t'aime.
Oui, je t'aime pour la nuit blanche et pour le souvenir laiteux d'un soir de coton.
Je voudrais te le dire en souvenir et en rêve.
Car mon amour n'existe pas ; il se construit et se détruit,
fidèle à une mort latente et un espoir déçu... (Saadi)
Répons d'eva au poète :
Saadi, ô Saadi,
Je savais tout cela, qui me tenait éloignée sciemment
du mirage de tes mots et du ressac de l'amour...
Car l'amour qui se construit et se détruit, comme le mouvement infini de la mer,
m'a fiancée à la mort latente et promise à l'espoir déçu...
Lumière était mon espérance, Obscurité fut mon destin...
eva, 27 avril 2014 ©
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Commentaires
10CaroleMardi 29 Avril 2014 à 00:50Une réponse pleine de douleur, mais qu'adoucit la poésie. Aimer rime souvent avec pleurer.RépondreAllons allons, le mot vieille n'est pas assorti pour les femmes !Pas de pluie pour le moment, mais question lumière je me suis laissé dire que tu irais faire provision bientôt, alors encore un p'tit peu de patience ;-)arf ! merci d'être passé Dan ! bonne journée (sans pluie j'espère, car tu vois un peu dans quel état me met le manque de lumière !...
c'est essprès Jama ! quand on donne le répons au poète, il faut toujours aller dans son sens !
Eh ben dis donc, te voilà au même niveau que saadi, bon je vous laisse tous les deux car je ne pourrai me hisser à votre hauteur !Eva ta réponse est poignante, un cri une déchirure...
"lumière était mon espérance, obscurité fut mon destin"
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