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"Tu penseras aux Italiennes, qui sont bien plus belles que moi..." "Je l'aimerai quand j'serai mort, si c'est permis aux trépassés"
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photo Saul Leiter « Je n'ai pas de philosophie de la photographie. J'aime juste prendre des photos. Il me semble que des choses mystérieuses peuvent prendre place dans des lieux familiers » Saul Leiter
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Par eva-maïa dans les poètes et l'amour le 16 Janvier 2018 à 11:40...doux comme la mort « le doux penthotal de l’esprit et des sens » selon Léo Ferré. Parce que tout amour véritable est voué à la mort d’une façon ou d’une autre (par l’incompréhension de l’autre, par son mutisme, l’éloignement, la rupture, la divergence, la séparation en...
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Par eva-maïa dans Art Pictural le 9 Novembre 2017 à 10:27Frida crée, Frida crie en silence, Frida milite... Et son cri fait une flaque de lumière sur ses toiles accrochées au ciel de lit… Luciole, sa vie danse et tournoie dans les ténèbres, Sa douleur plombe le plaisir à boire les couleurs de ses toiles… Frida aime, Frida...
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...refuse de lui fournir les papiers nécessaires à son départ (la majorité était alors à 21 ans). C'est donc cet amour pour Juan qui avait poussé Federico au départ précipité, et c'est avec patience que Lorca annonçait à son amant qu'il l'attendrait. Retardant d'autant leur fuite... Un...
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...gaieté, rêve d'ouvrir une librairie, malgré les tracasseries de l'administration fasciste. Il tombe amoureux de Dora, institutrice étouffée par le conformisme familial et l'enlève le jour de ses fiançailles avec un bureaucrate du régime fasciste d'alors. Cinq ans plus tard, Guido et Dora...
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Par eva-maïa dans un peu de moi le 29 Juin 2017 à 10:53"Tu es plaisir, avec chaque vague séparée de ses suivantes. Enfin, toutes à la fois chargent. C'est la mer qui se fonde, qui s'invente. Tu es plaisir, corail de spasmes." (René Char, Lettera amorosa)
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Incontro Queste dure colline che han fatto il mio corpo e lo scuotono a tanti ricordi, mi han schiuso il prodigio di costei, che non sa che la vivo e non riesco a comprenderla. L’ho incontrata, una sera: una macchia più chiara sotto le stelle ambigue, nella foschia...
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Je garde dans la solitude Comme un pressentiment de toi. Tu viens ! Et le ciel se déploie, La forêt, l'océan reculent. * Tous deux le soleil nous désigne Par-dessus la ville et les toits Les fenêtres renvoient ses lignes Les fleurs éclatent comme des voix. * Lorsque ton jardin nous...
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Par eva-maïa dans un peu de moi le 25 Avril 2016 à 10:49L’école était comme une ruche, studieuse et bourdonnante. Elle berçait mes jours, ponctuait les saisons et enchantait mon quotidien. L’école était le cœur battant du village, mais pas seulement, elle était le cœur battant de mon foyer… Je l’entendais, la devinais, la...