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Te quiero...
C’est l’histoire d’une photo, une autre photo semblable à celle-ci, trouvée chez un bouquiniste entre les pages d’un vieux, très vieux livre…
Federico, très beau évidemment, fixe l’objectif…
Ses yeux velours disent une passion pour le photographe…
Sa main a dédicacé au dos de la photo : «Te quiero. Federico »
« Je t’aime, je te veux. Federico »
Comme le vert, comme le vent, comme le souvenir qui ne passe pas, « te quiero »…
moi aussi... toujours...
eva
Tags : Lorca, photo
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Commentaires
Bel hommage à l'amoureux du vert, celui du vent et celui des branches.
Bonne journée Eva.-
Mercredi 6 Juillet 2016 à 22:45
Bon, voilà Nikole, c'est une histoire vraie : la personne qui me l'a racontée m'a précisé que sur le coup, il doutait un peu de l'authenticité de la dédicace, et qu'il avait mouillé avec le doigt les mots écrits.... hé bien... devine : l'encre était vraiment de l'encre, et la signature était vraiment celle de mon Federico... Hein ? c'est pas une merveille ça ? J'aurais voulu avoir cette photo-là pour moi...
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6Louis-PaulMercredi 6 Juillet 2016 à 09:40Une photo, parfois un mot sur une page de carnet...où quand le livre est aussi une "malle" aux trésors cachés. Jamais, une version numérique ne nous offrira un tel cadeau. Bises Eva
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Mercredi 6 Juillet 2016 à 22:42
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5jibieMercredi 6 Juillet 2016 à 06:01l'amour, entre deux pages
l'amour entre deux personnes,
vivant, après tant d'années
un peu de douceur dans ce monde perturbé
bonne journée Eva
Bonjour Eva,
Le vent ne cesse de tourner, comme les souvenirs dans cette foutue casserole à mémoire.
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Quelle émotion, j'ai bien fait de tant attendre à te lire, parce que ce matin d'un ciel vaguement chagrin est illuminé par le souffle d'un amour qui, lui, est immortel.
"Est-ce ainsi que les hommes vivent, et leurs baisers au loin les suivent..."
"ce matin d'un ciel vaguement chagrin" est illuminé par tes trois com !... Federico n'écrivait pas pour moi, et les baisers de Federico ne seront jamais pour moi, mais... c'est pourtant Federico, ses yeux, son sourire, ses mots, qui m'empêchent d'éteindre tout... Je t'embrasse Henri-Pierre...