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"Un chagrin blanc sans remède"
"Ce qui m'intéresse, ce sont les signes que trace l'homme sans le savoir, mais sans faire mourir la terre. Ce n'est qu'alors qu'ils ont un sens pour moi, ils deviennent émotion. Finalement, photographier, c'est comme écrire : le paysage est plein de symboles, de signes, de choses cachées. C'est un langage inconnu que l'on commence à lire, à connaître où on commence à l'aimer, à le photographier. Ainsi le signe devient voix : il m'explique certaines choses. Pour d'autres, par contre, il reste une tache." Mario Giacomelli (photos et citation)
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Commentaires
Comme tu as bien su voir la terre de ce Maroc
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Vendredi 20 Octobre 2017 à 19:03
oh merci mon ami ! De tous les voyages que j'ai fait pendant 10 ans (pas trop loin cependant...) je crois que c'est le Maroc qui m'a vraiment le plus émerveillée... en raison de cette minérale beauté exprimant avec force et magnificence toute une mystérieuse et sauvage poésie venant d'un autre âge (ou d'un autre monde)
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Vu du ciel, les traces laissées pas l’homme offrent une lecture complète d’un épisode de son histoire. Au sol on ne peut lire qu’une page et c’est très incomplet !
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Vendredi 20 Octobre 2017 à 14:50
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Un émerveillement toujours intact que celui de ce vrai visage de la terre mariée à l'homme ; hélas l'industrialisation rétrécit de plus en plus ce champ d'émotions.
Ce pourquoi, entre autres, le Maroc m'émeut, cette connivence entre la trerre et l'homme est encore omniprésente.-
Vendredi 20 Octobre 2017 à 14:43
J'ai aimé le Maroc de la même façon que toi, la première fois que je l'ai traversé du Nord au Sud... et ce diapo-là le montre bien :
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Giacomelli est poésie....superbe !
Merci Eva, je t'embrasse