• Union compagnonnique du Tour de France (Fumel)

     

    Fumel

     

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    L'union compagnonnique des Compagnons du Tour de France des devoirs unis, qui fêtait en 1989 le centenaire de sa création est fière de ses origines. Elle incarne en effet la première tentative aboutie de rassemblement en un même mouvement, des sociétés de Compagnons et des Devoirs que des différends avaient si longtemps séparé et dont les luttes fratricides avaient terni l'appartenance au même idéal. Elle a voulu inscrire sa philosophie dans son appellation.

    Une constitution fut adoptée au congrès de 1874. Du point de vue structurel, l'Union compte 25 sections locales en France et en Suisse. 

     

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    La nature des professions représentées est multiple : métiers du bâtiment, métiers de bouche, mais aussi nombre de métiers d'art, métiers du cuir, de la verrerie, et bien d'autres encore... L'Union Compagnonnique accueille les jeunes à partir de 16 ans, ayant un CAP minimum. Pour devenir Compagnon il doit être âgé de moins de 27 ans et réaliser une oeuvre d'un très bon niveau technique. 

     

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    Les maisons qui accueillent les jeunes et dynamisent le réseau local des adhérents s'appellent des "Cayennes", elles sont dirigées par un Président, une "Mère" ou une "Dame-hôtesse" s'occupe de l'accueil et de l'hébergement des jeunes. 

     

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    http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_compagnonnique

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  • Commentaires

    9
    Mardi 4 Décembre 2012 à 19:35

    et c'est aussi très poussiéreux !

    8
    Mardi 4 Décembre 2012 à 16:08
    C'est délicieusement désuet
    7
    Jeudi 29 Novembre 2012 à 08:56

    comme on le sait, c'est une très ancienne pratique, mais qui perdure... 

    6
    Jeudi 29 Novembre 2012 à 08:55

    oui, ça existe encore aujourd'hui, d'ailleurs, le fils d'un ami ébèniste a "fait ce Tour de France" des Compagnons il y a quelques années... Et j'ai été assez surprise de constater que la section de Fumel est toujours là !... un peu défraîchie, mais toujours là ! 

    5
    Jeudi 29 Novembre 2012 à 08:24
    Une bien belle Cayenne pour un bel idéal où le travail créatif est glorifié, ça existe encore oui, salutations fraternelles...
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    4
    DAN
    Jeudi 29 Novembre 2012 à 00:03
    J'ai connu des compagnons aux cours de mes années d'apprentissage, je n'oublierai jamais leur "savoir-faire", le mot OUVRIER avait un sens noble avec eux, sens que j'ai toujours gardé !
    3
    Mercredi 28 Novembre 2012 à 21:55
    Voilà j'ai troué le lien sur ton blog, à la fin de ce billet même. Modeste village ou Paris, les compagnons faisaient le tour de France.
    2
    Mercredi 28 Novembre 2012 à 19:46

    oui, j'ai mis un lien wikipedia, où le sujet est bien plus développé. Fumel est un modeste bourg, et cette enseigne a attiré mon attention dans une petite rue un peu retirée...

    1
    Mercredi 28 Novembre 2012 à 18:36
    Il existe un centre similaire, je crois avenue Jean Jaurès à Paris
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