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Vingt poèmes d'amour (Pablo Neruda)
Parmi les vagues, une vague, une autre vague,
vague de verte mer, branche verte, froid vert,
j'ai seulement choisi l'unique et seule vague
et c'est la vague indivisible de ton corps...
Pablo Neruda
Tags : poésie
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Commentaires
Il doit être bon de s'étendre sur ce rocher après la baignade dans cette belle eau claire ! En Italie l'eau doit être chaude ! Grosses bises Eva, l'énergie de la terre n'a pas encore bouleversé tous mes sens, rassure toi !!!ah ah ah ! Je n'ai pas les yeux verts hélas ! J'aurais tant aimé ! Ils sont noirs, noirs comme l'enfer ! bonne journée Dan, à demain au Havre...
Pablo Néruda a une rue dans le Havre, et quand on connait ses poèmes c'est tout à fait mérité.
Quant à la photo de la mer, est-ce le reflet de tes yeux sur ces eaux limpides...Bas de falaise à Sant Agnello, Campanie (Italie du Sud)... la seule photo de mes fichiers où la mer soit aussi verte ! Bonne soirée Thami
Bonjour,
Félicitations pour votre blog qui est riche en découvertes et poésie
Bonne continuation
SocratimAh! ça tombe bien! C'est justement là que j'ai toujours aimé plonger pour me baigner! J'apprécie peu le sable des plages où l'on patauge comme des petits canards...
Bonne fin de soirée et de semaine chal-heureuses!Mon recueil se nomme "vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée". Est-ce le même oui je pense.
Bises Eva.
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Je ne me baigne jamais, pas plus en Italie qu'ailleurs, mais j'aime les bords de mer... Toutes les mers sont belles, quelque soit leur couleur ! Bisous Danae, bon dimanche !