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Siempre conmigo...
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Commentaires
22Armide + PistolDimanche 5 Juin 2011 à 19:54Toujours avec vous, mes amis ? Assurément, comme Pistol.Répondreatmosphère, atmosphère ?Non ce n'est pas triste, c'est chic, c'est "classieux" ! C'est Pilar de la Hoz qui chante (mais je ne la connaissais pas avant, je suis tombée dessus par hasard...). Tu sais bien qu'avant d'embarquer les visiteurs, je m'embarque toute seule !!! C'est rigolo ! j'adore ça !
C'est chic, nostalgique et sensuel ! Un peu triste à mon goût pour y manger mais tu te doutes que je ne résiste pas à un gazpacho si finement présenté ... je ne sais pas qui chante. Ca ne défile plus ... Sacré Eva, tu as le don de nous embarquer !Une fraise à la chantilly et une feuille de menthe, sur le gaspacho ! Oui, ça réconcilie avec l'existence... Bonne soirée Nadine.
Ah ! la musique, la musique, elle emporte tout.
Ici "la part du pauvre" est grandiose, même en rêve...
Bonne soirée à toi.euh... Je n'ai pas tout compris à ce post: ni le titre (je sais je suis infirme en langue) ni les photos. Help ! Eclairez moi. Dominiqueune ambiance triste et marquée par la solitude...Heureusement les douceurs de la vie reprennent le dessus!Cet endroit resemble à un musée ? En tous cas le dessert semble très bon ! Bises EvaJe comprends l'espagnol écrit Henri-Pierre, mais je suis incapable de m'exprimer correctement dans cette langue que j'aime... (à mon grand regret). En ce qui concerne les objets, je les aime, ceux qui m'appartiennent, et aussi ceux que je croise en route... C'est très étrange cette façon que j'ai de faire miennes les choses qui me séduisent... Je les vois, je les regarde, et elles m'appartiennent pour toujours...
Une ambiance romantique à souhait dans ce bel endroit : un lieu idéal pour diner en amoureux j'imagine.
Et cerise sur le gateau : des fraises à la Chantilly : elle est pas belle la vie ?Sans sous-titre, quelques photos et une chanson te suffisent à créer toute une atmosphère: on ne peut que s'y attarder en rêvant. Plein d'émotions... superbe.Nada me conmueve mas que los objetos de todos los dias, los testigos de los dias que pasan inexorablemente con la memoria como punto fijo de la impermanencia.
Ya sabes tambien lo que pienso del culto de los recuerdos, hermana lia.
Y acabar ese paseo de los ojos y del alma con el postre que nos propones...
Hay un lienzo oval con una dama de los 1780 que me parece ser una maravilla.
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