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Alexandre O'Neill poète surréaliste portugais né à Lisbonne le 12 décembre 1924 et mort dans cette ville le 21 août 1986.
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Et chaque fois "Les feuilles mortes" Te rappellent à mon souvenir Jour après jour les amours mortes N'en finissent pas de mourir... �
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Par eva-maïa dans un peu de moi le 10 Mai 2023 à 18:52Vert je t'aime, vert je te veux... Un grand merci à Pablo Ortega Reina, qui pense "que la vie, quel que soit le moment que l'on traverse, peut être bien mieux vécue avec de la poésie." Poème dit par Pablo Ortega Reina / @canalpoesia
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Par eva-maïa dans les poètes et l'amour le 26 Janvier 2023 à 19:22A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton...
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Par eva-maïa dans Surréalisme le 30 Décembre 2022 à 11:47...l’horizontale à la verticale. Le titre « Les Pléiades » suggère une constellation d’étoiles. La poésie écrite au bas du tableau de la main du peintre, semble une dédicace, un message laissé à celui qui contemple et s’interroge : <!-- [if !supportLists]--> « ...
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"Le rêve va sur le temps comme un voilier sur la mer On ne peut rien semer dans les profondeurs du rêve Le temps flotte sur le rêve et plonge dans son abîme Aujourd'hui et hier se nourrissent des fleurs obscures du deuil Le rêve va sur le temps comme un voilier sur la mer On ne peut rien...
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Photo Katia Chauscheva ..." Cette blessure Où va ma lèvre à l'aube de l'amour / Où bat ta fièvre un peu comme un tambour D'où part ta vigne en y pressant des doigts / D'où vient le cri le même chaque fois / Cette blessure d'où tu viens..."
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Par eva-maïa dans Zeca Afonso le 20 Octobre 2022 à 17:32Prison de Caxias (proche de Lisbonne, Portugal) "Lisbonne. - Commençons par le plus horrible, le plus médiéval, le plus barbare : les cellules souterraines de la prison de Caxias, où les prisonniers politiques pataugeaient comme des rats dans l'eau boueuse et froide. Ces " celas da agua "...
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Par eva-maïa dans Art Pictural le 30 Septembre 2022 à 00:01"A Mário Botas, com uns cravos brancos Já estiveras na morte muita vez e sempre regressaras. Para a conheceres bastava-te afinal seres português, a morte é o nosso aprendizado. Agora lá ficaste: o outono foi duro. Não cheguei a dizer-te como tu e eu sobrávamos na festa. Tu já partiste,...
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Par eva-maïa dans les poètes et l'amour le 24 Septembre 2022 à 17:10Ce poème de Louis Aragon, mis en musique par Georges Brassens, chanté par Paco Ibañez est le plus beau chant d'amour jamais écrit... J'ai préféré l'interprétation de Paco (en live) à celle de Brassens parce Paco y met davantage d'émotion. J'aime son accent léger, son hésitation...