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La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Fuir ! Là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits ! Ni la clarté déserte...