• Un an déjà...

    photo P.Soriani

    Un an déjà… un an ! T’es pas mort mon ami, t’es juste un peu parti… juste un peu parti !

    Et ta voix chaude et douce me berce encore les soirs de mélancolie…

    Un an pour toi, un an pour moi… 

    A bientôt sur le quai !

     

     

     


    9 commentaires
  • Les églises peintes de Bucovine

     

    Après la prise de Constantinople en 1453, la Moldavie se porte garante des traditions et de la foi orthodoxe. Durant son long règne,Stefan cel Mare édifie des forteresses et des résidences. Il élève souvent à l'emplacement d'églises en bois ou d'ermitages existants, plus de 40 églises pour autant de victoires sur les Turcs ou les Polonais. Le Prince érudit Petru Rares (qui règne de 1527 à 1538 puis de 1541 à 1548) prolonge l'intitiative de son père en faisant peindre les églises. Durant quelques décennies, les murs extérieurs des sanctuaires se couvrent de scènes vivantes et hautes en couleur - un mouvement propre à la Bucovine. Cette démarche portait un double objectif : outre la promesse artistique, il fallait raconter la Bible à une population illétrée alors que les Turcs et la Réforme menaçaient la Moldavie. Aux thèmes bibliques, les peintres ajoutèrent avec de plus en plus d'audace des éléments familiers (instruments, costumes, outils, paysages)... Des murs comme des livres !

     

    Le secret de fabrication des couleurs, concoctées à partir de végétaux et de minéraux, n'a pas été percé : bleu de Voronet, rouge brique de Humor, vert de Sucivita et Arbore... 

     

    Classées par l'Unesco, ces trésors font l'objet d'une restauration minutieuse.

     

     

     


    8 commentaires
  • Le mystère de toute chose...

     

    Lorca tocando el piano

     

    " Toutes les choses ont leur mystère, et la poésie, c'est le mystère de toutes les choses" Federico Garcìa Lorca

     


    12 commentaires
  •  

     

    « Mon amour, aujourd’hui j’ai pensé à toi. Bien que tu ne le mérites pas, je dois reconnaître que je t’aime. Comment oublier ce jour où je t’ai demandé pour la première fois un avis sur mes tableaux ? Moi, encore jeune folle, toi, grand seigneur au regard lubrique. Tu m’as donné la réponse que j’attendais, pour ma satisfaction, pour me voir heureuse, sans même me connaître, tu m’as poussée à continuer de peindre. Mon âme s’est souvenue que je t’aimerai toujours malgré le fait que tu ne sois pas à mes côtés… »

    Frida K à Diego (sans date)

     

     


    12 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires