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Fumel (Lot et Garonne)
photos eva © octobre 2009
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Commentaires
J'y suis passé souvent à Fumel en allant dans le Lot avec les chevaux, mais en fait à part acheter du pain, je ne l'ai pas visité !
Ce bord du Lot est très beau...
Bonne soirée EvaCela me fait penser,je ne sais pas pourquoi, à la chanson de Line Renaud "combien vaut ce chien dans la vitrine......" A+Magnifique trompe-l'oeil ! Il y en a des terribles! On s'y tromperait. J'aime beaucoup.Tu me fais découvrir cette photographe... Il y a de nombreux posts et videos qui lui sont consacrés sur le Net... C'est passionnant ce thème du trompe-l'oeil... Et ça me rappelle, par extension, comment l'architecte Jean Nouvel a découpé des ouvertures dans les murs des couloirs d'un édifice (je ne me souviens plus où, au bord d'un lac, ce devait être un édifice consacré à la culture, au théâtre) et ces ouvertures rectangulaires très simples, donnaient à voir l'extérieur comme des tableaux accrochés sur les murs unis... Des tableaux naturels, comme des trompe-l'oeil de tableaux... Exactement l'inverse du trompe-l'oeil classique, mais avec le même objectif : attirer l'oeil sur un paysage auquel on ne prête pas attention avant que l'architecte l'ait cadré (ou encadré)...
Les trompe l'oeil, l'art de la rue permettent de jeter un regard moins nostalgique sur des pages qui se tournent."Ainsi le trompe-l’oeil n’est qu’un piège qui nous renvoie à notre regard, à la manière dont nous regardons - et occupons - l’espace. Si une « vraie » maison s’élevait là où il n’y a qu’un mur, si des vrais jardins à la française s’étalaient au-delà de ces grandes baies vitrées, si de vraies fenêtres habillaient ces façades, peut-être ne prendrions-nous même pas la peine de les regarder. Ce qui arrête notre regard, un court instant, c’est l’irruption de la fiction dans un univers auquel, à cause de ce que l’on pourrait appeler notre cécité quotidienne, nous ne savons plus prêter attention. En ce sens, les trompe-l’oeil fonctionnent un peu comme les mots croisés : ils posent une question dont la réponse est tout entière contenue dans l’énoncé qui la formule (par exemple : « vide les baignoires et emplit les lavabos » pour « entracte »), mais qui demeure énigmatique tant que l’on n’a pas opéré le minuscule glissement de sens qui la résout dans son évidence imparable."
Georges Pérec, « Ceci n’est pas un mur... », préface du livre Le trompe l’oeil de Cuchi White.
J'aime bien le trompe l'oeil face au poème de Gibran.Je commence à bien connaître le Sud-Ouest moi avec tout cela.
Et puis la fenêtre en trompe l'oeil, j'adore.
Bon WE chère Eva. DominiqueNon-non, c'est un trompe-l'oeil peint sur une ouverture condamnée, sur le mur d'une maison dans cette ville... C'est joli, j'aurais dû préciser... je vais le rajouter !
(j'adore les murs peints dans les villes...)Souvenirs Eva, je connais bien le coin...bisou, je retourne chez moi, on me cherche, hi hi...bon week end...J'adore ce bocage sérénité ! Ces teintes douces parfaitement accordées. Mention spéciale aujourd'hui pour ce tableau naïf que j'imagine de ta main et qui ne manque pas d'humour...
:)) :)) :)) Tu as encore de de la ressource ! Bonne journée et n'oublie pas de te couvrir...J.Absolument superbe, la première est très bien composée, bravo ! bonne journée Eva.
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A Fumel, il y a au moins quatre boulangers ! Bonne soirée à toi aussi !