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    Rabat la nuit 1

     

    En arrière plan on voit la très belle tour Hassan et les tuiles vertes vernissées du Mausolée Mohammed V

     

    Rabat la nuit 2

     

    Rabat la nuit 3

     

    Rabat la nuit 4

     

    Rabat la nuit 5

     

     

    Rabat la nuit 6

     

    (machine à broyer les cannes à sucre pour confectionner du sirop)

     

    Rabat la nuit 7

     

     

    Rabat la nuit 8

     

     

    Rabat la nuit 9

     


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    Rabat-Bou-Regreg.jpg

     

    "Nous écrivons nos noms pierre par pierre.

    ô éclair, éclaire pour la nuit, éclaire un peu

    Nous aimons la vie autant que possible."

     

    Mahmoud Darwich

     

    Rabat-Bou-Regreg-et-cimetiere-marin.jpg

     

    photos eva, juin 2014


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    Rabat6

     

    La kasba doit son nom à la tribu des Oudaïa originaire d'Arabie qui, après un passé belliqueux, fut installée à Rabat par Moulay Ismaïl pour protéger la ville de la menace de tribus rebelles. Une partie de l'enceinte qui enveloppe cette "forteresse" bâtie au sommet d'une falaise, et la majestueuse porte des Oudaïa qui la perce datent de l'époque almohade.

     

    Rabat8

     

    Dans les ruelles de la kasba, si on trouve quelques vestiges du XIIe siècle, les maisons de la kasba, peintes à la chaux en bleu et blanc, datent de l'époque des premiers souverains alaouites.

     

    Rabat9

     

     

    Rabat9a

     

     

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    revoir aussi : http://eva.baila.over-blog.com/article-24232707.html


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    Monsieur,

     

    Vous m'écrivez : "Je range l'amour parmi les religions, et les religions parmi les plus grandes bêtises où soit tombée l'humanité", et puisque l'amour est un peu religion, je pense la même chose que vous, et ne suis point choquée par vos propos.

     

    Comme vous, j'adore la beauté sous tous ses aspects, et selon vos termes, je suis comme vous, une gourmande enthousiaste, une gourmande solitaire qui mange pour sentir les exquises sensations des nourritures saines, pour percevoir les saveurs diverses, les arômes légers, les parfums fugitifs d'aimer...

     

    Comme vous je pense que "les sentiments sont des rêves dont les sensations sont des réalités" et comme vous je suis "une espèce d'instrument à sensations  que font résonner les aurores, les crépuscules, les nuits, et autre chose encore..." et j'aime les hommes du même amour que j'aime l'herbe, les rivières, la mer... En ceci nous sommes semblables, et comme vous me l'écrivez, je vous connais plus que je ne le dis, je vous ai deviné assez bien et cela seul me suffit !

     

    Je ne peux pas croire que vous n'aimiez pas Venise, vous qui voyagez avec tant de plaisir... Je vous soupçonne seulement de n'avoir point le désir de vous embarrasser d'une femme à Venise...

     

    Ne soyez pas surpris Monsieur : je suis écrivain, sculpteur, femme fatale... autant dire "courtisane" ! Si l'on était encore au Moyen Age, je serais brûlée sur la place publique !

     

    J'adore ce que vous écrivez, j'adore votre façon de disséquer vos contemporains à la ville ou à la campagne, d'une plume froide (certains diront "cruelle"), j'adore votre style concis et ciselé à merveille...

     

    Je ne serai pas à la première de Nana, et je ne vous obligerai point à m'enlever ! Pour quoi faire ? Si nous nous déplaisions à la première minute ? Je suis convaincue que vous en savez autant de moi que moi de vous...

     

    Baisez-moi autant que vous souhaitez... le bout des doigts !

     

    réponse fictive de Gisèle d'Estoc à Guy de Maupassant.

    eva, le 18 juillet 2014

     

    http://blogs.rue89.nouvelobs.com/la-lettre-du-dimanche/2014/07/13/lettre-de-maupassant-jaime-la-chair-des-femmes-du-meme-amour-que-lherbe-233239

     

    arton464.jpg

     

     

     


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