Le Monastère de Secu, fondé en 1602-1605 par le magistrat Nestor Ureche, dans la vallée de la rivière du même nom...

à suivre...

Iasi fut la capitale de la Moldavie entre les XVIe et XIXe siècles et reste la capitale culturelle, universitaire et religieuse...

Monastère de Galata.

Le Palais de la Culture porte l'empreinte du style néo-gothique flamboyant. Construit entre 1906 et 1925, il est bâti sur les ruines de l'ancienne cour princière de Moldavie. Il abrite à présent une bibliothèque et quatre musées. 

L'église du Monastère de Golia a été bâtie au cours du XVIe siècle par Ioan Golia. Entre 1650 et 1653 le monastère a été agrandie par le prince régnant Vasile Lupu et terminé par son fils Stephanita. Ce monastère est entouré par une muraille et présente une tour de 30m de hauteur qui a été rénovée en 1900.  

Demain, sur les routes de Bucovine, d'autres merveilles nous attendent...

Bucarest, capitale de la Roumanie, est mentionnée pour la 1ère fois en 1459 comme marché fortifié au carrefour des routes commerciales entre Târgoviste (alors capitale de la Valachie), Brasov en Transylvanie, et le port de San Giorgio fondé par les Génois sur le Danube. Selon la légende, le nom de la ville vient de Bucur, un berger qui se serait établi le premier sur l'emplacement actuel. Comme en roumain, bucur signifie joie, de nombreux écrivains roumains surnomment Bucarest "la ville de la joie". 

(photo ci-dessus : le Palais CEC ou Palais Casei de Economii si consemnatiunii, datant de 1900 est l'oeuvre de l'architecte français Paul Gottereau)

Eglise Stavropoleos et son petit cloître.

Bucarest a subi de nombreuses pertes patrimoniales, non seulement durant son histoire agitée, mais aussi depuis 2000. La faiblesse des lois protégeant le patrimoine, l'insuffisance des listes d'immeubles inscrits sur la liste du Patrimoine Historique et la corruption ont créé un terreau fertile pour les promoteurs. De nombreuses constructions anonymes et purement fonctionnelles ont remplacé les maisons, jardins et palais typiquement bucarestois qui constituaient une richesse architecturale et culturelle unique, à jamais perdue pour le pays. Mais depuis quelques années, les anciens palais et villas du centre commencent à être restaurés et plusieurs ont été classés au Patrimoine Mondial.

      église de l'Annonciation.

église Cretulescu.

Ruines de Curtea Veche, Cour Royale au Moyen Age.

Comme on peut le voir dans la rue Stavropoleos, au coeur du centre historique de Bucarest, un programme de rénovation se fait en partenariat avec les Nations Unies. Ce projet soutient les efforts de la mairie de Bucarest pour la réhabilitation, la reconstruction et la mise en valeur du patrimoine culturel de grande valeur, créant à la fois des emplois et appuyant le processus d'intégration des jeunes provenus des centres d'accueil.

Toujours au centre de Bucarest on peut voir encore les façades des immeubles criblés des balles de la révolution de décembre 1989. 

ici...

... et là...

Jaune fleur vénéneuse tapie au fond des jungles secrètes,

Soleil d’or clandestin au creux du Noir,

Fruit mystérieux offert au Vert profond,

Ouvert aux ténèbres,

Bijou épanoui dans l’écrin luxuriant des moiteurs exotiques…

Jaunes corolles languissantes balancées au gré du Rien,

Comme des colliers précieux au cou des reines,

Jaunes comme l’or des conquérants ramené de si loin,

et perdu sous le Vert, et bercé par le vent…

eva baila (texte et photo  ©)