• Sous l'épiderme broussailleux d'une terre à vif, la splendeur inattendue d'un paysage tellurique... la magie surréaliste de six éoliennes en ligne , la blancheur céleste d'une entité mystérieuse flottant dans le ciel marocain...

    photo eva baila © 


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  • Au loin, les tombeaux mérinides.







    Pour les repas de cérémonie,
    on loue des chaudrons.






    Métiers à tisser.







    Quartier des tanneurs.






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  • * La ferronerie, de tradition andalouse.

    * La dinanderie, (la ciselure est toujours superficielle, effectuée au burin).

    * Le damasquinage est un art délicat venu de Damas, qui consiste à incruster dans le métal des fils lisses ou torsadés, en cuivre, en argent, en or.

    * Le travail du maillechort (alliage de cuivre, de zinc, et de nickel dont l'éclat blanc rappelle celui de l'argent) est une spécialité de Fès et de Marrakech.






    Le cuivre, qu'il soit rouge ou jaune est coupé, martelé, repoussé, incrusté et ciselé. Le dinandier marocain assure une production continue d'objets divers, des plus modestes (ustensiles domestiques) aux plus prestigieux (portes incrustées et plaquées, plateaux ou chandeliers). Dans cet art se révèlent la virtuosité et le goût du détail de l'artisan, fidèle à une tradition millénaire.

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  • Le complexe des potiers.




    Les zelliges : il ne s'agit pas de mosaïque comme il est dit parfois improprement, mais d'une marqueterie de faïences polychromes, fixée dans un lit de mortier. Au début, les carreaux de céramiques étaient simplement disposés en damier, en jouant sur quelques couleurs (blanc, bleu, noir, vert et jaune). Puis, on eut l'idée de découper les carreaux à l'aide d'une marteline, en petits éléments géométriques simples (triangles, carrés, étoiles, etc.) avec lesquels furent composés des entrelacs (ou arabesques) de plus en plus complexes occupant toute la surface. L'utilisation des zelliges dans les frises épigraphiques est beaucoup plus rare, car difficile à réaliser : il faut délicatement exciser la surface du carreau pour y faire apparaître les lettres ou les rinceaux (par exemple, pour le style coufique fleuri) : le résultat est superbe.










    La poterie fait partie intégrante du décor quotidien. La ville de Fès demeure un des centres de production les plus importants. Célèbre pour sa faïence bleue ou polychrome sur fond blanc, elle diffère de la poterie de Safi, plus récente aux couleurs chatoyantes. Cet artisanat reste également très vivant à Meknès et Salé.



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