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En quittant la Bucovine, vers le Maramures, il ne faut surtout pas oublier de s'arrêter au village de Ciocanesti, dont les maisons peintes semblent décorées pour un livre de contes de fées...
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L'église élevée en 1530 par Toader Bubulog, cousin germain de Petru Rares, fut peinte en 1535 par un artiste du nom de Toma de Suceava : la couleur principale est le rouge brique. Humor après avoir survécu à la période communiste en tant qu'église paroissiale, a recouvré son statut monastique en 1991.
Le Fleuve de feu du Jugement dernier, qui tranche par sa couleur rouge, sur les tonalités chatoyantes des scènes voisines, est un thème commun à Humor et Voronet . A droite, sont figurés tous les animaux de la terre et de la mer. Tout le long du fleuve de la Géhenne des anges guerroient contre les démons, des âmes impures sont livrées à ceux-ci et torturées !
Il est possible de grimper en haut de la tour de guet isolée...
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Le monastère de Moldovita, qui se tient en bordure du village de Vatra Moldovitei, fut édifié pour le prince Petru Rares en 1532 (dont le buste figure sur l'avant dernière photo du billet).
La fresque la plus énigmatique est le siège de Constantinople qui illustre de façon manifeste la légende de la Vierge Marie soustrayant en 626 la cité byzantine à ses ennemis perses. Le patriarche orthodoxe y est dépeint exhibant une célèbre icône le long des remparts pour invoquer l'aide de la Vierge. Cet épisode est cependant représenté ici dans un cadre contemporain du XVIe : les vêtements, les turbans turcs que portent la cavalerie en marche, les canons, les bateaux, tout invite à interpréter la scène comme une intimation au ciel de débarasser la Moldavie de ses envahisseurs turcs...
La maison destinée au voïvode dans l'enceinte du monastère, est un édifice intéressant avec sa petite tour circulaire abritant l'escalier intérieur. Elle abrite aujourd'hui une collection d'objets de culte et d'art ancien (vases, chandeliers, broderies et manuscrits, icônes).
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Mon amour, mon amour,
Nous irons tous deux par les chemins de tendre solitude,
Nous tenant par la main comme des enfants,
Nous tenant par le cœur comme des amants,
8e et 9e dormants, nous irons tous les deux,
Dans ces cimetières pleins de sérénité,
Où reposent les morts parmi les fleurs sauvages et les herbes folles…
© eva, 21 octobre 2011
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